1. Deux roues pour une partie de jambes en l'air (2)


    Datte: 07/06/2019, Catégories: Lesbienne

    ... n’en as pas ailleurs ? me dit-elle, maligne. Je me lève, défais ma robe et tourne sur place, prenant la pose, main sur la hanche pour enlever mon string. Elle apprécie, en souriant se lève à son tour et me pousse sur le divan. Elle effectue un strip-tease, j’ai l’impression qu’elle met une heure pour déboutonner son chemisier, le jeter, tomber la jupe et enfin ôter sa culotte pour, cambrée les deux mains sur les fesses, tourner sur elle-même me laisser la découvrir toute nue. Je suis une fausse maigre, poitrine exceptée j’ai ce qu’il faut où il faut. Elle, c’est une fausse grassouillette. Tout est tendu, rond, pas un poil de cellulite, un Rubens, un Renoir. — Tu devrais toujours être nue, ton corps est fait pour ça, pas pour porter des vêtements ! A sa moue je vois qu’elle apprécie le compliment, mais la fine mouche fait la sourde et, se penchant pour allumer une cigarette et prendre son verre, elle écarte les cuisses, me dévoilant sa chatte et ses fesses somptueuses en mouvement. De retour, elle se plante devant moi, la cigarette aux lèvres, verre en main, tête rejetée, jambes ouvertes, le minou soigneusement épilé à portée de mes lèvres. Mais moi aussi j’ai envie de jouer, je la fait pivoter et sous le regard du dragon je caresse ses fesses, les écarte, teste leur élasticité. Mes mains glissent sur ses cuisses, remontent, elle a gardé ses talons, j’admire ses jolis pieds, ronds, eux aussi, parfaitement peints. Lorsque j’écarte ses lèvres, elle défaille une fraction de ...
    ... seconde, je sens son odeur femelle quand des deux pouces je les masse, son humidité facilite ma caresse. Je remonte jusqu’en haut de la raie, écarte les globes pour lécher le petit œillet qui ne demande qu’à être déplissé par ma langue. Imperceptiblement elle s’est cambrée pour mieux s’offrir à la pénétration et je libère mes mains qui passent sur le ventre et descendent frotter le mont de Vénus, puis survolent le clitoris qui bande comme une petite bite. Sa bouche exhale des ahanements de plus en plus profonds. D’une main je m’acharne sur le bouton, de l’autre je la pénètre de deux doigts et la besogne jusqu’à ce qu’elle jouisse. Elle me rejoint sur le divan et me gratifie d’un baiser aussi langoureux que le premier. Ses seins appuient sur ma poitrine et elle m’a écarté les cuisses pour fouiller mon entrejambe. Vite elle met trois doigts dans ma grotte et garde son pouce sur mon clitou. Je la caresse partout, elle transpire légèrement mais je n’arrive pas à me fixer sur une caresse précise, je suis sa chose, je lui crème les doigts tellement elle me branle bien. — Viens Chérie, viens... me souffle-t-elle à l’oreille. — Tu veux...? Je sors ses doigts de ma chatte et en glisse deux dans mon œil de bronze. Ils sont tellement mouillés qu’ils rentrent comme dans du beurre. Je repositionne son pouce sur mon bouton. — Comme ça alors... Elle me défonce le fondement, m’encule à fond, m’écrase le clitoris, elle aime me prendre le petit. Pince mes tétons de l’autre main. Nous sommes en ...