1. Inconnue familière


    Datte: 07/06/2019, Catégories: fh, inconnu, handicap, telnet, amour, fsoumise, jalousie, massage, Oral pénétratio, jeu, yeuxbandés, nonéro, mélo, historique,

    ... Elle enferma les hanches de l’aveugle entre ses cuisses. Malgré, ou peut-être à cause du danger, il se mit à la fouiller sans plus attendre, jusqu’au plaisir. L’intensité de ce qui les unissait était telle, qu’après s’être longuement répandu en elle, il ne faiblit pas. Inlassablement il monta à l’assaut, se retira, remonta, se retira encore, pour mieux s’emparer d’elle. À l’instant où une nouvelle et puissante vague de plaisir crispa les reins de l’homme, elle s’abandonna, comblée. Son ventre se creusa, son dos se raidit, sa tête bascula en arrière. Submergée par l’orgasme, elle ne put retenir un gémissement de plaisir. Il n’en fallut pas plus pour que son maître et seigneur, sans doute prêt au pire depuis le début, surgisse soudain à leurs côtés, bondissant et hurlant. Il vit les traits de la femme ravagés par cette volupté qu’elle lui refusait depuis des mois. Pris d’une rage irrépressible, il exigea réparation dans le sang. Les codes d’honneur lui interdisaient toutefois de se venger lui-même. Seul un immédiat seppuku pouvait laver l’affront. Tawara le savait, il y était prêt. Le shogun posa son sabre en ...
    ... face de lui, à portée de main. L’aveugle prit une longue inspiration, comme pour se gaver une dernière fois de l’odeur de sexe et de jouissance. D’un coup, la lame s’enfonça dans son ventre, aussi profondément qu’il s’était enfoncé entre les reins de la femme. Seul un reste de plaisir irradiant encore dans son bas-ventre lui permit de résister et de ne pas s’effondrer sous la douleur. Comme le voulait le rituel, il arriva même à s’infliger une deuxième entaille, croisant la première. Le supplice était insupportable. La tradition voulait d’ailleurs qu’à ce moment, le vainqueur tranchât le cou de son adversaire pour lui épargner une longue et pénible agonie. Reprenant le sabre en mains, le shogun leva les bras. Tawara offrit sa nuque. La lame siffla. La femme, la gorge tranchée, mourut sans laisser échapper d’autre gémissement que celui qu’elle avait offert à son époux. Dans sa rage sanguinaire, le shogun refusait ainsi au samouraï une mort sereine. Il ne pensa pas pouvoir éprouver de plaisir à y assister, et s’en alla. Le dernier murmure d’amour de sa femme au fond du cœur, Tawara quitta ce monde pas à pas. 
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