1. Au fil de la perversion


    Datte: 08/06/2019, Catégories: hplusag, gros(ses), groscul, campagne, froid, fsoumise, coprolalie,

    Nous nous sommes rencontrés de la façon la plus banale qui soit de nos jours, un site de rencontre. Elle avait un joli minois et se décrivait comme étant belle et ronde. Mes premiers émois devant la nudité féminine, vers l’âge de douze ans, ont eu lieu dans les musées de peinture européens en admirant les toiles de David, Delacroix, Rubens et tant d’autres encore. Les femmes nues qu’on pouvait y admirer étaient toutes bien en chair avec une peau souvent laiteuse, tout le contraire des critères de beauté actuels que les magazines et les créateurs de mode veulent nous imposer. C’est de là que vient mon goût pour les femmes opulentes aux formes arrondies et harmonieuses. Annie, en ce sens, comblait mon attirance pour ces formes généreuses, bien que je sois également attiré par tous les genres de physique. L’important pour moi étant de ressentir les émotions que telle ou telle femme peut me provoquer par sa sensualité. Ensuite, en faisant plus ample connaissance, elle doit être une « jouisseuse » au sens noble du terme et pouvoir atteindre plusieurs fois le plaisir suprême par les caresses de ma langue et de mes doigts avant de connaître à mon tour l’orgasme. Les femmes ont cette faculté de pouvoir jouir plusieurs fois de suite sans répit… enfin, certaines femmes du moins. Au fil de nos discussions, je me suis rendu compte qu’Annie correspondait en tout point à mes fantasmes, même si elle l’ignorait elle-même. Elle avait 42 ans, veuve depuis un mois mais en manque de sexe ...
    ... depuis longtemps du fait de la longue maladie qui devait finalement emporter son mari. Ce n’est évidemment qu’au bout de quelques jours d’échanges sur le net qu’elle m’en a fait part. Je ne lui ai nullement caché que j’étais marié depuis une trentaine d’années, heureux mais insatisfait sur le plan sexuel dans le sens que ma femme se bornait à des pratiques tout ce qu’il y a de classiques. Durant nos échanges épistolaires, elle m’avait avoué n’avoir connu que trois hommes dans sa vie et ne pas avoir exploré d’autres pratiques que celles que l’on nomme classiques. Donc pas forcément ce que je recherchais ; pourtant, je pressentais qu’elle avait envie de découvertes. La sodomie n’était par exemple pas dans ses préférences bien qu’elle en ait fait l’expérience lors de son premier mariage avec un alcoolique qui la prenait de force. Après deux semaines de chaude correspondance et de quelques téléphones encourageants, nous avons convenu d’une première rencontre, chez elle. C’était en fin de journée, après mon travail. Elle vint m’ouvrir sa porte, enveloppée dans une serviette de bain, et m’invita à entrer dans son salon. N’ayant pas plus de deux heures de libre, j’ai refusé le verre qu’elle me proposait et c’est le plus naturellement du monde qu’elle se trouva nue après à peine deux minutes. J’étais totalement comblé par ses rondeurs… Deux seins lourds et volumineux, dotés de mamelons qui pointaient déjà fièrement. Je la fis se lever et tourner sur elle-même pour admirer son fessier de ...
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