1. Au fil de la perversion


    Datte: 08/06/2019, Catégories: hplusag, gros(ses), groscul, campagne, froid, fsoumise, coprolalie,

    ... forte dimension, mais sans aucune trace de cellulite. Une main se faufila entre ses cuisses opulentes et deux de mes doigts découvrirent sa chatte détrempée. Je me levai à mon tour et posai mes doigts sur ses lèvres et nous les léchâmes ensemble, laissant nos langues se caresser. Après ce premier baiser, elle m’emmena dans sa chambre et je la fis asseoir sur le bord de son lit, les pieds reposant sur le sol. Toujours habillé, je sortis mon sexe de mon pantalon et le présentai à sa bouche qui s’en empara goulûment. La suite fut assez classique et ne mérite pas que je la raconte en détail, si ce n’est qu’après l’avoir léchée, doigtée et finalement pénétrée, elle sortit d’un tiroir de sa table de nuit une panoplie de godes, vibros et autres jouets. J’avoue avoir été surpris, mais elle me répondit que son défunt mari n’étant pas très endurant ni très expert, par contre ne rechignait pas à lui donner quelques plaisirs avec les jouets qu’elle s’était achetés, la plupart d’entre eux n’ayant jamais servi. J’en profitai pour jouer avec ses orifices en attendant que ma queue reprenne de la vigueur ; et dès qu’elle fut à nouveau dure, je me suis permis de frotter mon gland sur sa rosace. Comme ses gémissements m’indiquaient qu’elle semblait y prendre plaisir, je l’ai pénétrée par la petite porte, qui n’était d’ailleurs pas si petite que ça. Comme je l’avais suspecté, elle était avide de nouveaux plaisirs. Les jours qui suivirent nous permirent d’aller plus loin dans nos fantasmes, ...
    ... elle surtout. Nous nous revîmes encore quelques fois, et très vite nous utilisâmes des mots crus en alternance avec les moments de douceur. Elle a découvert la domination douce et verbale. Elle prit goût à mes ordres, du genre « Tourne-toi, salope ! Je vais te défoncer le cul… » ou encore « Suce-moi mieux que ça ! » tout en la gratifiant de quelques claques sèches sur les fesses. Son fils étant revenu vivre sous son toit, il nous fut impossible de nous voir chez elle, à part quelques séances rapides entre midi et deux heures quand mon travail m’en laissait le loisir. Nous convînmes donc de nous voir dans la nature ; mais comme nous étions en hiver, nos ébats eurent lieu à l’arrière de mon gros 4x4, sièges arrière déployés pour nous donner un semblant de grand lit. Notre relation était parfois houleuse du fait de son très grand appétit sexuel que mon emploi du temps ne permettait pas toujours de combler. Quand elle devenait trop exigeante, je ne lui répondais plus pendant plusieurs jours ; et quand enfin je la recontactais, c’était pour lui donner – sous forme d’ordre – un rendez-vous libidineux à notre endroit habituel. J’accompagnais mon ordre d’exigences diverses, comme d’arriver nue sous sa robe et de mettre sa chaînette pourvue de trois pinces, une pour chaque téton et une pour son clito. Le gel lubrifiant ne quittait plus son sac à main et la sodomie faisait partie de la routine. À mon arrivée sur le parking d’une sortie d’autoroute, elle s’empressait de monter dans ma ...