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... chauffait un peu dans le calebar. Laetitia s’agenouilla bientôt pour sucer la verge gonflée de Pauline et la caresser entre les jambes. Celle-ci gémissait de plaisir, pour le plus grand bonheur de la réalisatrice, qui paraissait faire des efforts pour ne pas se masturber devant nous. Moi je ne fis pas d’effort. De voir pointer relevé vers moi le cul de Laetitia qui pompait profondément la queue désormais toute dure, avait achevé de m’exciter. Je dégrafai ma ceinture et ouvris mon jean, et me ruai sur le derrière de la jolie blonde. — Ah ! Oui ! Excellent ! Hmmm ! Monsieur a une très belle bite aussi ! Très bien, ça ! Et à entendre la demoiselle beugler, il sait s’en servir ! Ouiii ! C’est bon ! Elle non plus ne faisait plus franchement d’efforts : elle avait relevé sa jupe et se caressait sans ménagement. Y avait que la pauvre Shawna qu’était obligée de se retenir pour filmer. — Hmmm ! Mais monsieur pourrait baiser plutôt la dickgirl ? … Oui, voilà… comme ça, par derrière, pendant que mademoiselle la suce toujours ! Oui ! Aaaah ! C’est du bon, ça ! Et mademoiselle pourrait sans doute se toucher ? Hmmm ! … Vous avez fait un lavement, avant de venir ? Non ? Oh comme c’est dommage ! … Hmmmm ! Ouiii ! Allez-y, mademoiselle, tournez-vous, qu’elle puisse vous pénétrer ! Oui, comme ça ! … Oh oui, monsieur, venez lui baiser la bouche ! Ouiii ! Aaaah ! … Hmmmm ! … … … Mais… mais qu’est-ce que vous faites ? Oh ! Les deux ? Les deux dans la chatte de mademoiselle ! Aaaah ! Hmmmmm ! ...

... Ouiiiiii ! C’est boooon ! ! ! Elle se tortilla une dernière fois en beuglant pendant que Pauline et moi continuions de défoncer Laetitia, qui hurlait de plaisir. *** — Ah c’était excellent ! On aurait juré voir des professionnels ! Et vous, mademoiselle, ah ! Quel délice de vous voir manier cet engin ! Tous les trois, vous êtes vraiment formidables ! Shawna, fais voir les contrats. La sumotori s’exécuta et apporta trois feuillets pré remplis que la réalisatrice déplia sur la table autour de laquelle nous nous étions installés une fois remis de nos émotions. — Alors… hmmm… il faut que j’appelle mes producteurs, mais… pour une scène comme celle que vous venez de me faire, plus une autre où vous pourriez baiser avec une autre dickgirl, mais sans monsieur, disons… cinq mille dollars pour vous, et trois mille pour vous. Laetitia, qui avait sans doute vu venir le truc, répondit du tac au tac : — Vous rigolez ? L’autre fut tout de même un instant désemparée, mais reprit rapidement : — C’est une offre généreuse, vous savez, surtout pour des débutantes. Je veux bien aller jusqu’à trois mille cinq cents pour vous. Et pour monsieur, hmmm… disons mille s’il accepte de se faire enculer. J’éclatai de rire, ce qui décontenança encore un peu notre interlocutrice. — On ne fait rien en dessous de quinze mille chacune, rétorqua fermement Laetitia. Et nous ne sommes pas des débutantes.— Hein ? ! ? Mais vous êtes folles ! Où vous croyez-vous ? Je ne travaille pas pour Bruckheimer ! Les producteurs ne ...