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Quand Margot devient chienne variation
Datte: 08/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme
... justement ? Il est évident qu’il avait remarqué que certaines positions t’excitait et te faisait mouiller, ça n’avait pas pu lui échapper. Et puis elle ne pouvait se le nier à elle-même, il lui faisait envie. Elle avait été tellement contente lorsque Margot, pourtant son amie et qui l’est restée d’ailleurs, avait quitté le château définitivement. C’est bien pour ça qu’elle était descendue. Elle pensait être seule, mais le voulait-elle vraiment ?Voilà, sa décision était prise, elle fit un pas en avant.- STOP !!!Une seconde fois, Anne fut pétrifiée. Elle termina son pas mais resta figée là où elle était. Je me doute qu’elle se demandait qu’est-ce qui m’arrivait encore. Elle avait pris sa décision alors pourquoi je la stoppais de nouveau ? J’avoue que je n’étais pas mécontent de l’effet produit.- Je vois que tu as pris ta décision. A partir de cet instant tu fais tout ce que je te dis sous peine de punition. Je te le redis une dernière fois. Retournes immédiatement en arrière ou tu ne pourras plus le faire. Si tu décides de continuer malgré mes mises en garde je veux que tu retires tes sous-vêtements si tu en as. Ensuite tu avances.Anne resta immobile quelques secondes supplémentaires. Je voyais bien que son cerveau bouillonnait encore à ce moment précis. Mais je ne pouvais plus intervenir, il fallait que cette ultime décision vienne d’elle. Je savais pertinemment que Margot avait bien dû lui raconter ses prouesses, elles étaient amies de longues dates. Aussi, si elle ...
... continuait c’était en pleine connaissance de cause.Toujours sans un mot, Anne passa les mains sous sa petite robe, baissa son string et le quitta. Elle le laissa tomber négligemment près d’elle et commença à avancer dans la direction d’où elle avait entendu ma voix.Dès lors, je m’avançais dans le peu de lumière que distillait l’éclairage indirect. Dès que Anne me vit, elle bifurqua dans ma direction et s’arrêta à deux mètres de moi. Elle me regarda dans les yeux une fraction de seconde puis baissa son regard. Je ne bougeais pas. Je ne disais rien. Je laissais monter la tension. Même si elle savait ce qui pouvait lui arriver dans ce lieu, il fallait encore qu’elle s’interroge. Qu’elle se demande ce que j’allais pouvoir bien faire d’elle. Allais-je l’attacher ? La suspendre ? La menotter ? La rudoyer ? Lui donner du martinet ou autre lanière ? Il me fallait créer cette tension pour que les plaisirs qui allaient venir soient décuplés. L’attente est le meilleur moment du plaisir. Je devais faire durer ce moment.Anne eut un léger sursaut lorsque je me décidais à bouger. Je m’avançais vers elle, jusqu’à la frôler. Je fis le tour de son corps, doucement. Du dos de la main j’effleurais sa croupe tendue, crispée je devrais dire. Un frisson la parcourut jusque dans le cou remontant son échine. J’entendais sa respiration devenir plus rapide, je devinais les pulsations de son cœur aux battements de ses veines. Le crissement de mes ongles sur le tissu agaçait son épiderme qui se transformait en ...