Quand Margot devient chienne variation
Datte: 08/06/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... chair de poule. Je tournais toujours autour d’elle et mes doigts maintenant frôlaient sa hanche. De nouveaux frissons parcouraient son corps. Je me retrouvais de nouveau face à elle. Ses seins se soulevaient au rythme de sa respiration devenue plus saccadée. Les tétons tendaient le tissu. Et plus la respiration accélérait, plus le tissu frottait les seins et plus les tétons se tendaient. Avec le dos de la main encore, je caressais doucement son beau ventre plat que j’admirais tant lors des séances de pose. Encore un frisson. C’est pourtant vrai qu’elle est belle. Bien sur que j’en avais envie. Mais je la savais exclusive. Elle l’avait dit à Margot qui me l’avait répété. Je savais qu’elle ne voudrait pas être la doublure de son amie. Et surtout ne pas faire comme elle. Et là, maintenant, sous ma main, elle frissonnait à mes caresses. Je laissais descendre mon bras et frôlais à peine son mont de vénus. Puis tout en caressant sa hanche gauche, je me saisis d’un téton que je pressais entre le pouce et l’indexe tout en l’étirant. Je le laisse reprendre sa place et j’empaumais tout le sein tendrement, comme pour apaiser la petite douleur infligée une seconde auparavant.Tu as les yeux fermés, la bouche entrouverte. Tu respires fort. Je me colle à toi, passe mes bras derrière toi et te saisis les fesses en te plaquant contre moi. Tu rouvres les yeux, surprise, juste au moment où je te prends la bouche dans un baiser violent, impératif. Tu m’acceptes en me donnant ta langue et nous ...
... mélangeons nos salives dans ce baiser qui devient chaud, torride, sensuel.Lorsque nos lèvres se séparent, je te prends par la main et t’entraîne vers un autre coin de la pièce dont, je n’en doute pas, margot t’a sûrement déjà parlé.Lorsque nous arrivons devant l’engin, tu écarquilles les yeux. Puis tu comprends à quoi cela sert en te souvenant des récits de ton amie. Je n’ai même pas besoin de te faire signe, tu viens docilement mettre ta tête dans le carcan comme une condamnée, ainsi que tes bras dans les encoches prévues à cet effet. Je referme la partie amovible sur toi en prenant garde de ne pas te blesser et je mets la clavette de fixation.Je t’ai volontairement laissé ta robe. J’adore, du moins au début, te caresser par dessus le tissu. Je trouve ça follement érotique. Néanmoins la position que tu viens d’adopter a partiellement découvert tes jolies fesses. Ainsi coincée, tu ne peux me voir. Je ne te touche pas encore. Que peut-il se passer dans ta tête à cet instant ? C’est le premier moment vraiment important. Jusqu’à présent mes caresses étaient assez superficielles et tu pouvais éventuellement te sauver. Mais là, impossible. Tu es à ma merci petite Anne perverse ! Et tu te demandes ce qui va t’arriver désormais.- Toujours décidée ?- …- ANNE! Toujours décidée.- Oui bien sur. Et puis maintenant je n’ai plus le choix, non ?- En effet. Mais je voulais te l’entendre dire.Je me rapprochais de toi. Je remontais ta robe un peu plus sur ton dos afin de dégager complètement ton ...