1. La goulue


    Datte: 09/06/2019, Catégories: fh, hplusag, pénétratio, fsodo, occasion,

    ... être là quand il faut et se donner à fond pour me sauver du péril et se servir au passage. Elle connaît mes défauts et moi les siens. Nous nous sommes déjà déçus et réconciliés, ce qui est la vraie preuve de l’amitié. Merci pour elle, je l’aime de vrai et tranquillement. Depuis ces événements, j’avais une ou des arrière-pensées interdites quand la gamine passait dans mon paysage. Pensez donc une gamine de l’âge de mes enfants ! Une conviction ferme, tenant au respect absolu de l’enfance, me défendait de toute velléité de passage à l’acte. Et puis les parents sont des amis et je n’ai jamais baisé sa mère, alors… Non ! Non, rien à faire. Je serais digne de la Belle et du Clochard de Brassens "tout doucement arrête un peu ton tir, j’ai pas tellement l’étoffe du satyre". J’en étais là, campé sur ma morale quand elle s’était faite absolument chatte avec moi. Seuls dans l’appartement elle s’en donnait à loisir pour m’échauder. J’avais une grosse boule au fond de la gorge qui illustrait complètement mon combat intérieur. La lutte du bien contre le mal, le démon de midi contre celui de six heures moins le quart. Bien accroché au pinceau pour peaufiner les coins et les angles. Le rouleau bien ferme dans la main droite je m’évertuais à parler d’autres choses malgré le décolleté dans lequel mon regard plongeait du haut de mon échelle, vers son nombril, à moins que ce ne soit le clitoris ? Non, non, c’est le nombril ! Le clito est plus bas que les poils pubiens et dessous le mont de ...
    ... venus. CQFD. Pas de soutif. C’est vrai, pourquoi faire ? Ma digue a cédé par petits à-coups. Ses frôlements innocents ou pas, les regards qui en disent trop long sur ses envies, ses poses, ses sujets de conversation, ses interrogations sur les photos de la fête. Il y a eu préméditation. L’appareil n’est pas resté chargé et bien en vue pour faire joli et moi je suis tombé dans le panneau. Le piège était en marche et j’avais déjà un pied dedans. Elle a dit vers deux heures : — J’ai chaud, je vais prendre une douche. Ouf, un peu de répit ! Et puis elle est sortie nue de la douche. Elle sentait bon et mettait de l’eau partout. Mon sexe n’a fait qu’un demi-tour vers le haut. Ouille les poils coincés ! Le bonheur commence t-il par la douleur ? La pression intracrânienne est montée dangereusement vers la zone rouge et même violette ; j’étais là comme un gland avec mon érection et mon rouleau dans la main. Pas dans la même main vous aurez compris. Une pure beauté. Une merveille… Quelques secondes en suspens sans rien d’autre a faire que de vivre ce moment rare, incroyable, rythmé par les palpitations de mon cœur. Une éternité après je descends de mon escabeau. Elle me retire le pinceau des mains et se colle à moi - Ouille ouille encore trois poils arrachés – et approche sa bouche de la mienne. Je maintiens trois millimètres d’écart. Elle semble décontenancée mais comprend rapidement le jeu sensuel. De nos lèvres qui ne se touchent pas nous devinons la chaleur de l’autre. Nous exacerbons ...