1. La goulue


    Datte: 09/06/2019, Catégories: fh, hplusag, pénétratio, fsodo, occasion,

    ... nos sens du toucher et olfactif. Sa respiration sur ma joue, le fin duvet au-dessus de sa lèvre qui effleure les miennes. Résister à l’envie de prendre contact, tenir la frustration le plus longtemps possible pour cueillir les fruits de la jouissance cérébrale. Je parcours son cou, ses oreilles, sa poitrine, ses seins. Je mime de sucer le téton sans le toucher. C’est elle qui a craqué la première. Perdu ! Elle m’a collé son nichon dans la bouche en me plaquant la tête contre sa poitrine. Message compris, de toutes les façons je n’y tenais plus et j’ai tété sans tâtonner son téton entêté et sucer en aspirant l’aréole et mordiller le bout, les bouts, pendant que ses jambes emprisonnaient la mienne pour cause de frottement vulvaire. Nos langues ont fini par se trouver, se sont mêlées, entremêlées comme deux organes sexuels archaïques, vestige d’une fonction oubliée par l’évolution et ma belle mère. Je l’ai soulevée, debout comme au cirque, comme une danseuse, pour lui mettre tout de suite ma bouche sur le con. À califourchon sur mes épaules, elle tortillait du cul pour m’enfoncer son vagin sur ma langue, tout en tenant l’équilibre en plaquant ses mains au plafond. Nous avons fait le tour de la pièce à cause de la peinture fraîche qui glissait. Son jus de grotte coulait dans ma barbe, sur ma glotte, couvrait mon visage. Elle a joui en s’accrochant au chambranle de la porte du salon et je n’avais plus un poil. Avec ma bite je suis rentré dans son con brûlant en un seul ...
    ... mouvement direct, vers le fond, à tel point que nos ischions (avec un ch à prononcer que vu la racine grecque) se sont entrechoqués dans un bruit mat (non, ça c’est pas possible). J’ai limé pendant une éternité, refait l’alésage comme un ouvrier clandestin qui a la trouille des quotas d’immigrés à reconduire à la frontière. Du travail bien léché. Je ne sentais plus ma bite parce que j’étais une bite, je n’étais qu’une bite, une machine à foutre, à jouir, à faire jouir. Et j’accélère dans les virages, et maintenant la danse du ventre, et la charge du zouave, et Napoléon devant l’obélisque, et Bir Hakeim, et la guerre de la brouette espagnole, et la brouette chinoise (la même mais il n’y as pas de roues). Elle a dû jouir deux ou trois fois mais pas moi. Nous avons pris toutes les positions, elle m’a sucé, branlé, doigté et j’avais toujours un pieu comme je ne pensais plus en avoir un jour un comme ça, surtout avec ma femme. Cinq minutes, et puis voilà, le samedi matin avant le marché… Impossible d’atteindre l’orgasme pour moi. Parce qu’elle a eu le temps de prendre son fade avec tous les bonus. Par pitié pour moi, elle m’a demandé de l’enculer. Pas spécialiste de la question je l’ai posée sur le ventre, sur le dossier du fauteuil de grand-mère (pardon grand-mère) pour lui faire une feuille de rose digne du jardin du roi. Bien dilatée je suis allé chercher le beurre dans le frigo; merde y’en a plus ! Célibat à la con ! Vite le lubrifiant pour les pistons ! Non l’huile d’olive ! Plutôt ...