1. MAMAN EST MORTE (2/2)


    Datte: 09/06/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    Le jour de l’enterrement de maman dans son village en Bourgogne, je trouve une grande malle confirmant que je suis né de père inconnu. Dans cette malle, je trouve un paquet de lettres bizarrement entouré d’un ruban noir. Elles sont numérotées, lettre N° 1, réponse N° 1. J’ai lu les deux numéros 1 qui m’ont fait comprendre qu’elle avait une copine d’origine juive qui avait fui Paris et perdu son pucelage à la ligne de démarcation alors qu’elles étaient amantes l’une l’autre. Je prends la lettre N° 2 que maman a écrit. Lettre N° 2. Paris, le 12 septembre 1942. Sylvie. J’ai bien reçu ta réponse à ma lettre. Début de ton voyage pas facile pour toi et dépucelage aussi bizarre que le mien. Mon cœur tes bras me manque et je rêve doucement la nuit que ta bouche vient comme tu sais si bien le faire sur ma chatte. Je te parlais du nouvel officier qui m’a installé près du bureau et dans une chambre du numéro 2 au haut commandement allemand en France, c’est fait, c’est comme je le prévoyais mon amant, dès le deuxième soir, il est venu dans mon bureau avec une robe, une étole de vison et des chaussures à talons très haut. Il parle remarquablement, le Français ayant été en mission en Alsace avant la guerre. • Mettez cela. Cet ordre était sans appel, j’ai commencé à enlever mes affaires en gardant ma petite culotte et mon soutien-gorge. • Enlève tout, tu sais pourquoi je t’ai choisi alors il faut éviter de me décevoir, car tu risquerais comme celle qui t’a précédé de t’occuper d’un centre ...
    ... pour troufions à leur laver leurs slips et leurs gamelles en recevant sur toi leurs sales pattes. Depuis ma dernière lettre, il est vrai que Lucienne a quitté ce lieu au cadre magnifique et j’apprends par ce que me dit mon officier ou elle a atterri. Lorsque je vois l’occupant se comporter avec moi tu comprendras que dans les secondes qui ont suivi, je me suis mise nue pour enfiler sa robe. J’étais sur des charbons ardents, car c’était la première fois que je me dénudais devant un homme, avec Antoine dans le garage ma culotte avait semblé lui suffire. Je me demandais en enlevant ce dernier sous-vêtement montrant ma toison brune que tu sais être très prolifique s’il allait me prendre là sur mon bureau. Il n’en fut rien, j’avais la chance d’être tombé sur un homme du monde et pas un soudard. Il m’a emmené dans un des plus grands restaurants du moment et après c’est à l’Alcazar que nous avons fini la soirée. Dans la salle, autour de moi que des officiers allemands accompagnés par des femmes aussi jolies que moi. C’est à ce moment que j’ai pris conscience de la condition que cet officier voulait faire de moi, si je couchais avec lui je deviendrais une pute au service de nos occupants. Si je refusais, j’avais de fortes chances de finir pute dans un bordel de troufion alors j’ai eu la faiblesse de choisir le luxe. Comme je l’avais prévu, au retour nous sommes directement allés dans ma chambre. Tu m’as expliqué que tu avais dû sucer la queue de ton passeur, j’en ai fait de même avec ...
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