MAMAN EST MORTE (2/2)
Datte: 09/06/2019,
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Dans la zone rouge,
... Adolphe, oui je sais, j’ai la malchance que mon amant est le même nom que son très grand patron. Contrairement à toi cette première fois, il a gardé son sperme pour que sa queue soit en forme pour me la placer dans mon vagin dès qu’il m’a eu dénudé. Ce que j’ai apprécié, c’est que son hygiène buccale soit impeccable et de me faire baiser dans un lit. Surtout celui où j’habite mes affaires m’ayant été amené par des ordonnances. Je te disais qu’il m’avait couché et prise dès que j’ai eu écarté les cuisses, sa bite m’a rapidement amené au plaisir pour la première fois avec un homme. Ce plaisir était bien différent de celui avec toi la pénétration en plus. J’aime avec toi et dès que nous nous retrouverons, nous reprendrons nos jeux là où les circonstances les ont interrompus. Promets-moi que même si la vie nous entraîne à avoir un homme, non plutôt des maris, je pourrais continuer à te sucer la chatte chaque fois que nous serons seules. J’ai conscience de t’écrire n’importe quoi, mais mes larmes me montent aux yeux lorsque je repense à nous et à la pute à occupant que je suis en train de devenir en me mettant en levrette et que la verge que je reçois régulièrement dans le vagin vient prendre la place de ta langue que j’aime tant. Je dois te faire un aveu, grâce à tes confidences avec tes rapports avec ton passeur, j’ai pensé au risque de grossesse dès cette première fois avec mon officier aussi au moment où il allait décharger, je lui ai demandé de me sodomiser ce qu’il s’est ...
... empressé de faire en me disant. • À les Françaises, elles sont toutes des belles cochonnes, on t’a bien choisi. Je pense que, quant il parlait des belles cochonnes que nous sommes, il parlait de maîtresses qu’il avait eues en Alsace et qui devaient se laisser sodomiser. J’entends que l’on bouge dans les couloirs, je te laisse en espérant que nous ayons toujours ce lien écrit entre nous. J’oubliais, je te donne une adresse où envoyer ta lettre, je passerais la chercher et dans mon prochain courrier, je t’expliquerais ce qui m’est arrivé, il y a trois jours mais que j’hésite à te parler dès aujourd’hui. Je t’embrasse tendrement. Marie. Toutes ces découvertes à mon âge me font friser la crise cardiaque, je sens le besoin d’aller marcher un peu avant de reprendre ma lecture. C’est au café-restaurant du village que j’entre au début pour prendre un apéritif, mais lorsque je sens la bonne odeur du bourguignon que la serveuse apporte à un couple déjà installé à une table voisine de la mienne, je décide de manger ici étant à jeun depuis le matin. Ces deux personnes parlent à voix feutrée, mais le peu de monde me permettait d’entendre ce qu’ils disent. • Merci pour ce repas pour nos dix ans de mariage, mangeons vite et retournons dans notre nid d’amoureux, j’ai envie que tu me prennes comme ta petite chienne que je suis pour toi, du moins je l’espère, nous serions seules, je viendrais te sucer la queue. • Louise fait attention, le monsieur pourrait nous entendre, que penserait-il de nous. ...