La nuit où nous avons cédé
Datte: 10/06/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
amour,
cérébral,
Oral
pénétratio,
tutu,
confession,
amourcach,
extraconj,
... douceur de ton membre et ses palpitations involontaires. Je te pompe littéralement, tu continues de grossir dans ma bouche. Je te quitte un instant, pour retarder l’échéance inéluctable, et je lèche du bout de ma langue tes couilles gonflées elles aussi. Tu apprécies. Pour la première fois depuis de début de cette divine séance, ta bouche s’entrouvre et tu parles : — Oui, encore, ne t’arrête surtout pas. Je te regarde du pied du lit : tu es tellement excitant, le mâle en toute majesté. Ta tête roule de droite et de gauche, tes mains accrochent les draps, tu t’abandonnes complètement, tu t’en remets à moi. Je vais te délivrer, tu es à présent au fond de ma gorge, plus profond on ne peut pas. Alors j’accélère, je donne le départ du sprint final, tu adoptes le même rythme, tu ne peux t’empêcher de me guider de tes mains, j’ai le sentiment à cet instant précis d’être ton objet, ton esclave sexuelle. L’explosion arrive, et le flot de sperme jusque-là contenu peut enfin se libérer, c’est chaud et abondant, un peu écœurant, mais j’adore parce que c’est toi. Tu jouis bruyamment, ça aussi c’est une surprise : tu es tellement policé dans la vie civile, je n’imaginais pas que tu puisses avoir tant de violence en toi. Je ne le sais pas encore, mais nos futurs ébats me prouveront que tu peux être très surprenant dans ce domaine. C’est la phase de descente. J’ai posé ma tête sur ta cuisse, j’ai l’impression d’être une petite fille de nouveau, sans défense. Je sais bien pourtant que je ...
... n’en suis pas une car ma bouche est encore pleine de ton goût, bien que je t’aie avalé. Je suis juste une petite salope, obsédée par l’idée de te sucer pour te faire jouir, avide de posséder ta magnifique queue. Tu ouvres les yeux, de nouveau sur la Terre, et tu me souris tendrement, tu es heureux, et ça se voit. Où cela va-t-il finir ? Vais-je te vider complètement, te laisser sans substance ? J’ai aussi envie de jouir à mon tour, il faut que ta queue redevienne grosse et se remette en mouvement. Dormons un peu… C’est moi qui somnole maintenant. Combien de temps cela fait-il, je suis incapable de le dire. Je me réveille à peine quand tes mains caressent mes fesses, que tes doigts s’insinuent lentement entre elles, je décide de me laisser faire, d’être passive. Je ferme les yeux. Une image passe devant mes yeux : j’ai très envie que tu m’enc… N’est-ce pas trop tôt ? On se connaît si peu… Tu me retournes, tu m’allonges sur le ventre, tu glisses ta main sous mon ventre pour remonter mes fesses, pour mieux me cambrer. Je me laisse faire comme une poupée de chiffon, je sens ton sperme collant qui coule entre mes cuisses, tu vas sûrement me remplir de nouveau. Ta bite déjà dure tape contre mon cul prêt à s’ouvrir, où vas-tu aller ? Baise-moi dans mon sommeil, j’en ai envie, Je rêve que je jouis. Tu entres conventionnellement, tu t’accroches à mes hanches, tu souffles dans mon cou. Bien évidemment, tes coups de boutoir se font de plus en plus forts, tu écartes mes fesses de tes mains, ...