Rencontre nocturne
Datte: 11/06/2019,
Catégories:
hh,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
parking,
Collègues / Travail
voiture,
Oral
hsodo,
... Merci. Pfff, il se fait déjà tard et je suis fatigué, mais il va falloir que je roule encore un peu si je veux arriver.— Vous n’avez pas de couchette pour dormir ?— Si, c’est juste que je ne suis pas en avance…— Je me suis toujours demandé à quoi ressemblaient les couchettes dans un camion. Et là je répondis sans réfléchir : — Ben, je peux vous montrer la mienne si vous voulez.— J’aimerais beaucoup ! Et le voilà qui me suivit. Je lui expliquai que la couchette était située au-dessus de la cabine et qu’il fallait soulever une trappe pour monter, ce qui soulevait aussi le matelas, et ce faisant j’ouvris la trappe pour qu’il puisse voir. Il me dit qu’effectivement avec le matelas relevé et la trappe ouverte, on ne se rendait pas bien compte de la taille de la couchette. Je lui proposai donc de monter avec moi pour pouvoir refermer la trappe. J’étais maintenant avec un inconnu, coincé dans la couchette, car nous étions sur la trappe permettant de sortir. Il complimenta l’agencement et la propreté de l’endroit et me demanda si je n’avais pas chaud quand je dormais enfermé dans cet endroit exigu. Je lui répondis que si, et que d’ailleurs je dormais nu tellement il y faisait chaud. Il me répond aussitôt : — Il fait déjà très chaud ; tu peux te déshabiller si tu veux. Surpris par cette demande, je bafouillai : — Vous aussi… Et me voilà à devoir me déshabiller devant un inconnu, mais je m’exécutai, car j’avais toujours ce fourmillement dans le bas-ventre et un léger tremblement dû ...
... à la peur, ou à l’excitation peut-être ? Je fus nu le premier et me suis allongé de côté sur la couchette. Lui avait gardé son slip et me caressait les cuisses ; sa main passait doucement sur mon sexe qui avait pris de la longueur, mais ne bandait pas dur à cause des émotions qui me traversaient, puis ses mains se dirigèrent vers mes fesses et s’y attardèrent. Il me demanda de me mettre sur le ventre ; j’obéis. Pendant de longues minutes, ses deux mains allèrent et vinrent sur mes fesses ; de temps en temps l’une d’elles se faufilait dans mon sillon, me faisant un bien fou. Je ne pouvais d’ailleurs le cacher, car à chaque fois que l’une de ses mains frôlait mon anus, mon fessier se soulevait pour prolonger la caresse. Il me dit : — J’adore tes petites fesses ; elles sont très belles. J’ai envie de les embrasser… Et sans attendre mon consentement, il était déjà en train de leur déposer des bisous au hasard d’abord, puis en se rapprochant de ma raie où ils se firent plus insistants. Son nez était maintenant entre mes fesses qu’il tenait écartées de ses mains, et ses baisers descendaient vers mon petit trou. Je ne saurais dire à ce moment à quoi je pensais tant j’étais suspendu aux bons traitements qu’il me prodiguait. C’est quand il a sorti sa langue pleine de salive et qu’il est venu lécher mon petit trou que j’ai eu un moment de mal-être en sentant cette humidité en moi comme si je m’étais fait pipi dessus. Rapidement, son souffle chaud sur mon intimité, la douceur de ses ...