1. SAP&cie 03


    Datte: 12/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... l'immigration de sa mère, Leila, venue seule avec lui en France, alors qu'il n'avait que six ans, naquit chez le jeune Ibrahima et surtout chez sa toute jeune beurette de maman l'espoir d'une vie meilleure, d'un avenir ambitieux et d'un traitement juste et respectueux. De tous les membres de sa famille, la toute jeune maman avait été la seule à voir, dans l'attitude de son fils, un petit garçon spécial dès ses premières années de sa vie. Alors elle s'était enfuie avec lui. Elle avait élaboré ce projet fou, réalisé cette incroyable prouesse par amour, pour lui offrir une vie digne. En dépit des risques, des dangers, des inévitables mauvaises intentions des hommes qu'elle était prête à subir puisqu'elle les avait déjà subi de la part de son propre oncle desquelles naquit Ibrahima. Oui, son propre oncle avait abusé d'elle. Quand il fut évident que Leïla était enceinte, l'oncle fut exécuté en secret pour la honte causée. Leîla, la maman de seulement treize ans affreusement déshonorée fut pour toujours la honte de la famille, fut traitée comme une fille de petite vertue, fut exploitée tel une cendrillon. C'était injuste mais c'était comme ça. Elle dut s'enfuir car si le fruit de l'honteux inceste n'avait pas été, lui aussi, tué de la propre main du patriarche c'est parce qu'il était un mâle. Un garçon dans une famille essentiellement constitué de femme. Il était source d'espoir et de succession. Espoir déçu par sa constitution frêle. Il n'avait pas d'avenir dans cette famille. ...
    ... Pis, sa vie était menacée par le patriarche qui laissait entendre qu'il pourrait être victime d'un accident au vu de sa maladresse. Elle s'était enfuie alors qu'elle n'avait que dix-neuf ans. Elle était prête à tout pour offrir un vrai avenir tant elle aimait son incroyable fils. Tant son intelligence et sa perspicacité la touchait. Elle pensait que sa propre vie n'avait de sens qu'à travers la réussite de son fils. La france ne pouvait que lui permettre d'atteindre son but. La france ne pouvait que leur permettre de s'épanouir tous les deux. Si ce fut le cas pour le jeune Ibrahima Kahlouf. Ce ne fut pas le cas pour sa pauvre mère, la jeune et très belle Leila Ben Kahloufa. Lui était un jeune enfant, il entra en cours préparatoire et bénéficia d'une scolarité normale. Mais rien de "normal " ne se passa pour cette superbe maman de dix-neuf ans, ignorante de ses droits mais pas des vices des hommes. Ces français malhonnêtes et des françaises incompétentes et jalouses faisaient la pluie et le beau temps dans la vie de la maman étrangères. Alors, quand le garçon comprit que sa mère se faisait abuser et manipuler par ceux disant appliquer la loi, il décida d'apprendre les ficelles de cette loi. Avec ses compétences en Droit qu'il acquit quelques années plus tard, trop tard, nouvelle réussite. Plus personne ne pouvait abuser les Kahlouf en disant "ah non, vous n'avez plus le droit à cette allocation. Ah non on ne peut rien faire. Mais peut-être qu'on peut s'arranger, autrement ... ...
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