1. Classe de décrocheurs


    Datte: 27/08/2017, Catégories: fh, fplusag, profélève, parking, école, Oral pénétratio, québec,

    ... testicules avec délicatesse. Il n’a pas de poils. Je m’en donne à cœur joie et multiplie les coups de langue en tout sens. Ses couilles paraissent si jeunes, sans un pli. Sans doute, sont-elles gonflées à bloc. D’une main je m’occupe d’elles, de l’autre je commence un mouvement de va-et-vient sur son membre. J’y vais en l’effleurant, en le touchant à peine. Sa queue dressée me donne envie de la posséder. Avec ma langue chargée de salive, je remonte le long de sa verge jusqu’au gland. Celui-ci est gonflé. Je le taquine du bout de la langue. Avec mes lèvres, je caresse délicatement sa balane. Je veux le faire languir un peu, alors, je redescends mes coups de langue vers ses testicules. Je lui caresse l’intérieur des cuisses avec de petites pressions, cela semble le rendre fou. De l’entendre gémir me déchaîne, j’ai définitivement soif de plaisir. Il m’agrippe le chignon et le défait en m’enlevant le crayon qui lui sert d’attache et dit : — Je savais que tu étais une prof cochonne… J’en peux plus, suce-moi je t’en prie.— Cochonne, tu crois ça, toi ? Attends de voir, mon petit coquin… Je le regarde droit dans les yeux en le léchant de bas en haut et enfonce son gland millimètre par millimètre dans ma bouche humectée à souhait, au plus profond de ma gorge. Je le garde en bouche un moment, en effectuant de légères pressions à la base de sa queue avec ma mâchoire. Ma langue poursuit ses mouvements de gauche à droite. Il semble apprécier ce que l’enseignante lui révèle ce soir et ...
    ... j’en suis ravie. L’expérience est faite pour être transmise aux plus jeunes, non ? Je remonte tranquillement ma bouche le long de sa verge. Ça m’excite infiniment de l’engouffrer par des mouvements de va-et-vient. J’augmente la vitesse au fur et à mesure que je l’entends gémir et le sens trembler à la fois. Il est en quasi extase sous mon contrôle buccal et je m’en réjouis. J’en profite pour me caresser la chatte, me pénètre d’un doigt en m’astiquant la vulve. Je continue à le sucer un moment, lui tends mon doigt mouillé de nectar. Il le lèche avec délectation. Je suis étonnée qu’il puisse tenir la fellation si longtemps. À son âge, les hommes que j’ai connus auraient depuis longtemps éjaculé. Il me caresse les cheveux pendant que je le ramone. Ma langue va dans tous les sens, comme si je me gavais de glace au chocolat. Par en haut, par en bas, à gauche, à droite, avec une insatiable gourmandise car je ne veux rien perdre du joyau qui s’offre à moi. Si ce n’est la position à genoux qui commence à m’être pénible, je pourrais le sucer pendant des heures. Sa queue est tellement belle, ça fait si longtemps que je n’en ai pas pris une en bouche, que je m’en régale. Quand il se sent au point d’éjaculer, il me prend la tête afin que j’arrête mes succions. Cela me surprend : quel homme voudrait s’arrêter quand la tailleuse de pipe est prête à le recevoir en bouche ? Mais enfin, il me prend par les épaules et m’aide à me relever. J’ai les jambes comme de la guenille… Il m’embrasse à ...