1. Touria, la caissière perverse du Carouf (2)


    Datte: 14/06/2019, Catégories: Hétéro

    ... salon. Elle prend mon petit cadeau, l’ouvre, esquisse un léger sourire et le pose négligemment sur la table. — Mets-toi à ton aise mon petit chat, je t’ai préparé un petit thé et des petites pâtisseries. Mes enfants sont à l’école, je passe les chercher dans 2h et demie, ça nous laisse le temps de discuter. Et la voilà partie à me raconter toute sa vie ! Un vrai moulin à parole cette femme-là ! Tout y passe, Elle n’arrête pas ! Sa jeunesse à Fez, son arrivée à douze ans en France, son mari qui la tabassait, son départ du Maroc, son arrivée en France, ses galères de fric et de boulot, son gentil amant qui l’a trompée, ses enfants… interminable ! Me voilà beau, moi qui rêvait d’un super plan cul, me voilà à l’écouter sagement en sirotant mon petit thé à la menthe. Plusieurs fois, j’essaie de glisser ma main sur ses genoux, mais toujours elle se défile… Je fais de mon mieux pour cacher mon impatience, je commence à comprendre qu’elle n’a pas fini de faire joujou avec moi… Elle se lève pour me resservir du thé, quand elle verse, elle se penche en se cambrant, ses larges fesses tout proches de ma tête. J’ose mettre une main sur sa croupe. Elle accepte la caresse et même, elle ondule son bassin. Bien vite je mets la deuxième main puis le nez. Je parcours les courbes de son beau fessier, je mordille la chair au travers du tissu fin de sa robe. Je la soulève d’ailleurs, laissant la peau de ses fesses à la merci de mes mains et de ma langue. Elle ne porte pas de culotte, elle n’avait ...
    ... donc pas uniquement l’intention de discuter autour d’un petit thé. Tandis que la pointe de ma langue parcours l’auréole de son anus, cette garce s’agrippe sur la table basse en poussant de petits halètements de plaisir. Une fois bien régalé de son cul, je lui claque les fesses, elle se redresse et se retourne. Avec un large sourire de dominatrice, elle relève très doucement sa robe jusqu’au nombril. Je suis subjugué par la beauté de son triangle de velours. Fourrure très abondante, noir absolu, bien humidifiée par le désir et au milieu de cette immense forêt noire, je vois sortir le rose vif des replis de ses lèvres. J’avance mon menton pour gorger ma langue de cette douceur, mais elle me bloque le front de sa main. — Ooooh oui tu la veux la petite minette, elle est toute chaude pour toi, mais tu as bien compris ce que je t’ai dit ! tu me baises, mais tu t’occupes de moi ! tu as compris comme elle est difficile ma vie et qu’il faut que tu m’aides ! c’est clair ? J’acquiése de la tête ! Tout ce que tu voudras, Touria Je serai ton petit chat, je te couvrirai de milles douceurs mais par pitié, donnes-moi ta chatte ! Elle sourit, elle ôte sa main et ma bouche s’engouffre entre ses jambes. Elle s’allonge sur le canapé tandis que je me régale de sa chatte. Je la lèche pendant une éternité, elle lâche des petits gémissements de plaisir. Elle prend tout son temps, elle aime que je fasse durer son plaisir. Je fini par me redresser, je baisse mon froc et je lui présente ma queue tout ...