1. Touria, la caissière perverse du Carouf (2)


    Datte: 14/06/2019, Catégories: Hétéro

    ... droite, le gland est déjà tout violacée, déjà humidifié par un peu de sperme tellement mon désir est fort. Aussitôt ma salope d’arabe l’engouffre dans sa bouche gourmande. Elle agite sa langue et ses lèvres, pince mes testicules, et me regarde râler de plaisir et me contorsionner. Elle s’assoit de nouveau dans son canapé en écartant bien large ses grosses cuisses. J’essaie de prendre une petite capote que j’avais planqué dans la poche de mon pantalon. D’un geste vif, elle attrape le petit bout de latex et le jette à terre. — Je veux sentir ta queue me sauter, pas le pastique. Aller mon petit chat, tu rentres dans la Touria et tu lui donnes du plaisir ! Je réponds à son invitation et bien vite j’introduis mon bassin entre ses jambes. Je lui balance de grand coups de reins, j’y mets toute ma force, je fais vibrer tout son corps et je fais claquer ses cuisses. adsaoohi - Ah mon cochon ! Tu aimes me sauter hein ? Il est bien là ? Et ton petit zizi dans ma chatte, il est bien là, hein ? Allez vas-y défonce moi sale cochon ! Pendant qu’elle me couvre de milles injures, elle enfonce son doigt dans mon anus, ce qui décuple mon plaisir. Je double la fréquence de mes coups de reins quitte à perdre mon souffle. Cela ne dure pas bien longtemps, à peine je me retire que je lui balance deux grosses giclées bien chaudes de sperme sur son ventre. Je m’écroule sur elle, épuisé, en sueur et elle me prend dans ses bras. On reste un bon moment enlacés à se reposer, à se bécoter, à se ...
    ... caresser doucement à s’échanger des mots doux… Puis doucement elle caresse mon sexe et lui fais reprendre un peu de rigidité. Je suis épuisé, mais elle en veut encore. Elle me suce alors consciencieusement, nettoyant bien mon membre du mélange collant de nos ébats précédents. Je suis bien dur de nouveau. Elle se met à quatre pattes en levant bien son cul. Encore une fois je m’introduis profondément en elle et je la prends en levrette cette fois. La deuxième baise est beaucoup plus longue, j’ai beaucoup moins d’ardeur tant je suis épuisé. Mais elle roucoule de plaisir, elle se met à jurer en arabe des mots que je ne connais pas. Des fois elle m’insulte, elle me demande de pousser plus fort. J’accélère, je lui claque les fesses, je la griffe aussi, elle gémit de plaisir… Un quart d’heure à passer et je finis par lâcher mon foutre dans son vagin. Je me relève sans un mot, je file prendre une douche. Je me rhabille, elle me regarde avec un grand sourire, mêlant la satisfaction, la douceur, un je ne sais quoi d’air narquois — T’es un bon petit chat, tu m’as donné du plaisir. La prochaine fois, ramènes d’autres cadeaux, j’ai bien aimé tes bijoux, mais j’aime bien aussi la lingerie fine et les sacs à mains! Tu m’as promis que tu t’occupais de moi ! Tu t’occupes bien de Touria, elle te donne tout ce que tu veux ! Elle me claque les fesses et m’ouvre la porte — allez dégage maintenant, je dois aller chercher les enfants. Au revoir, et rapplique vite dès que j’aurai besoin de ta queue sale ...