1. Chronique de la folie ordinaire (4)


    Datte: 27/08/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... en l’air et que je me suis presque toujours masturbée en vous entendant râler. J’ai adoré tes soupirs et j’avoue aussi que tout à l’heure encore… c’était… magnifique et je te promets que tu assures… vraiment. — Et bien c’est un compliment. Mais tu sais, tu n’es pas si mal non plus. Et j’ai tout oublié alors que tu me faisais jouir comme personne ne l’avait jamais fait. — oooOOooo — Les mois ont passé. Nous vivons toutes les deux et nous sommes toujours amantes. Mais depuis nous avons alliés à nos jeux des jouets, des choses qui ressemblent tellement à des vraies. Pourtant, elle me dit toujours que ces fac-similés aussi bien réalisés soient-ils, n’ont pas la chaleur des réels. Je veux bien la croire. Et nous avons convenus que si l’une d’entre nous, un jour le désire, nous choisirons à deux l’élu qui, une nuit ou plusieurs qui sait, partagera notre couche. Mais souvent nos cris de bonheur se mêlent si bien que je n’arrive pas à imaginer une bite d’homme en elle. Pas plus qu’en moi bien sûr ! Et pourtant, je sais lire dans le voile de ses regards que certaines soirées, il lui manque un petit quelque chose. Ce minuscule morceau qui crée toute la différence entre les hommes et les femmes. Me laisserais-je un jour tenter ? Je n’en sais rien. Pour l’heure nous vivons cet amour interdit avec un bonheur qui nous fait rayonner. Dans notre quartier, pourtant si puritain, nous sommes une fille et sa mère. Bien sous tous rapports, sans que cela n’entraine quelques commérages ...
    ... malvenus. Et nous sommes toutes les deux conscientes que mêler un homme à nos ébats pourrait aussi entrainer la fin de cette tranquillité relative. Mais je sais, je sens bien qu’elle ne pourra jamais se passer entièrement de cet appendice masculin et que parfois, elle en rêve alors que je lui donne un plaisir que nous partageons toujours. Je cherche une solution, mais il est bien certain qu’en ce qui me concerne, n’ayant jamais connu ce genre de relation traditionnelle, je ne peux en aucun cas connaitre le manque. Et les godes dont nous usons de temps à autre, ne sont, à ses dires, que de bien piètres imitations. Cependant, elles me conviennent, car évidemment qu’à force de jouer avec ceux-ci, je ne suis plus vierge. C’est aussi sûr qu’un jour, proche ou lointain, je n’en ai aucune idée, nous partirons ensemble, à la recherche de la perle rare. Celui qui saura lui donner ce que moi je suis incapable de lui offrir et qui me montrera le chemin de cette volupté dont elle me rabat les oreilles. Ce jour-là, nous serons elle et moi sur la même longueur d’onde. Et notre partenaire devra se plier à nos exigences. Mais pour ce n’est pas pour tout de suite, l’idée doit aussi faire son chemin en moi et c’est plutôt long. Je saisis bien cependant que son corps à elle réclame une entrée plus en profondeur. L’automne suivant nous trouve toujours aussi amoureuses. Et nous filons le parfait amour. Je me sens si proche d’elle. Et nos mines épanouies en attestent. Les gens que nous croisons nous ...
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