Antoine
Datte: 15/06/2019,
Catégories:
fh,
init,
conte,
fantastiqu,
initiatiq,
... risque de vous les arracher. J’espère que vous êtes capable de plus de modération, de patience et de tendresse au lit. Antoine entendit cela comme un reproche et apprécia. C’était la première fois qu’une femme lui disait clairement ce qui n’allait pas et cela lui permettait de changer en mieux. Il hocha la tête et intégra le nouvel élément. — Venez, approchez. Antoine s’avança et se laissa embrasser, sans oublier de lui rendre sa charmante attention. Lorsqu’il posa les mains sur les boutons du gilet pour le lui ôter, elle s’éloigna et s’exclama : — Non ! Vous obéissez et vous ne faites rien.— Pardon, dit-il sincèrement. Je suis désolé. Je ne le referai plus, promis. Vous me pardonnez ? Il fit un vrai air de chien abattu qui fit sourire la jeune femme. Comme elle ne disait toujours rien, Antoine insista et s’il avait été un chien, nul n’aurait pu ne pas s’apitoyer sur le sort de ce pauvre malheureux. Irène se mit à rire et souffla : — Vous êtes pardonné. Allons, approchez. Antoine reprit un air séducteur et charmeur et s’approcha, ravi d’avoir gagné cette bataille. Irène l’embrassa avec douceur et le lécha. Antoine ne bougea pas et se laissa entièrement faire. Les mains de la jeune femme étaient très précises, douces et fermes quand il le fallait. Elle le masturba longuement, sachant quand s’arrêter pour faire durer le plaisir encore plus longtemps puis le prit en bouche. Elle n’hésita pas à l’enfoncer jusque dans sa gorge et Antoine se raidit, de peur qu’elle ne se fasse mal, ...
... mais se calma en constatant qu’elle semblait au contraire apprécier cela. Finalement, il s’abandonna et accepta les caresses et sucions avec plaisir. Il regretta cependant que sa partenaire ne se soit pas dévêtue. Il aurait aimé pouvoir mater ses formes qu’il devinait jolies, mais n’en dit rien. Il se contenta d’observer son visage fin allant et venant sur son membre bien dressé. Elle était vraiment douée. Mireille lui avait déjà fait des fellations, mais elles ne valaient certainement pas celle-là. Lorsqu’il sentit la main d’Irène lui caresser les fesses, il sursauta d’abord de surprise puis se laissa aller : c’était tellement bon. Elle suivait ses mouvements de reins, léchait et suçait avec délectation. Antoine sentit alors un doigt doux et tendre écarter ses fesses et suivre la raie jusqu’à l’anus, avant de le caresser gentiment. Antoine n’avait jamais pratiqué un quelconque sexe anal et n’était pas sûr de beaucoup apprécier. Il se raidit et se crispa alors qu’Irène, à genoux devant lui, le regardait d’un air disant « détends-toi, tout va bien ». Antoine ne parvint cependant pas à trop se relaxer, car le doigt forçait de plus en plus l’ouverture sans toutefois le faire souffrir. Elle y allait doucement, mouillant de temps en temps son doigt en le léchant d’un geste langoureux. Antoine, bien que gêné, finit par se relaxer, car Irène était très douée. Totalement dominé par le plaisir provenant de son membre fier, il ne se rendait presque plus compte de la main qui caressait ...