1. La punition


    Datte: 27/08/2017, Catégories: fff, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fgode, champagne, fouetfesse, fsoumisaf, vêtements,

    ... mais il faut que je débouche la bouteille avant. J’ai à peine repoussé le bouchon que le champagne jaillit en un énorme geyser et asperge Maryse des pieds à la tête. Sa jupe et son body sont imbibés du luxueux breuvage. Marie exulte : — Ça faisait longtemps qu’elle n’en avait pas fait une.— Elle m’a complètement arrosée, soupire Maryse avec un air désabusé.— T’es bonne pour enlever ta jupe et la rincer, même s’il paraît que le champagne ne tache pas. Aidez-la, Catherine, ça permettra peut-être de rendre votre punition moins sévère ! me précise Anne-Marie.— Oui Madame, pardon, je suis désolée. Je ne sais pas pourquoi le champagne a jailli comme cela.— Léchez le fruit de votre stupidité ! dit Maryse en m’attrapant la tête. Elle me pousse vers sa maigre poitrine, me colle la bouche contre sa chair trempée. Je commence à lécher et j’ai en bouche un curieux goût fait d’un mélange de parfum, de peau et de champagne. Maryse promène ma tête sur tout son torse, sur le haut de ses seins que je continue à lécher abondamment. Maintenant elle me pousse vers son ventre et ajoute : — Enlevez ma jupe et continuez à me nettoyer ! Je retire le vêtement et je m’apprête à m’agenouiller pour lui dévorer le ventre de ma langue quand Marie m’ordonne : — Reste debout, penche-toi sur elle pour faire ton boulot. Je m’exécute et me penche. Je sens mon pantalon glisser encore plus le long de mes fesses, je m’apprête à tirer dessus mais je me rappelle à temps l’ordre d’Anne-Marie. Je le laisse donc ...
    ... glisser inexorablement, j’ai rapidement la moitié du cul à l’air maintenant. Je suis obligée de jouer la girafe et d’écarter les jambes pour pouvoir être suffisamment penchée et atteindre le ventre de Maryse. Après une ou deux minutes, alors que je suis toujours pliée en deux, tout occupée à mon nettoyage, je sens deux mains agripper mon pantalon. Instinctivement, je commence à tourner la tête mais Maryse me la recolle aussitôt sur son ventre et la pousse même vers son intimité. Les deux mains tirent d’un coup sec mon pantalon, me mettant ainsi le cul complètement à l’air. J’entends Marie exulter une fois de plus : — Elle a vraiment un cul de chienne ! Regarde ça, Anne !— C’est vrai, elle a vraiment un des plus beaux culs que j’ai pu voir. Et Anne ajoute en rigolant : — Et j’en ai vu des tas.— Vraiment un beau cul de salope. Je sens une main, que je présume être celle de Marie, me caresser les fesses puis une claque tombe, puis une autre toujours avec ce même dosage subtil et excitant. La série continue avec un rythme lent et suave, c’en est trop et je suis obligée de stopper mon léchage pour pousser des petits gémissements incontrôlables. Maryse se plaint : — Marie, tu perturbes le travail de notre élève, tu vois bien qu’elle ne peut pas gémir et me lécher en même temps.— Ne me dis pas que tu ne trouves pas excitant de l’entendre ; et puis voir d’ici son cul trembler sous mes claques, ça l’est encore plus.— Je dois reconnaître que tu as raison, d’ailleurs j’aimerais bien qu’elle ...
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