La punition
Datte: 27/08/2017,
Catégories:
fff,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fgode,
champagne,
fouetfesse,
fsoumisaf,
vêtements,
... seul jusqu’au sol, atterrit sur mes pieds me laissant comme seul vêtement mon bustier débordant de mes chairs. — On avait bien dit qu’on lui enlevait une fringue à chacune de ses conneries, non ? dit Marie.— Oui, c’est vrai, mais son chemisier n’était pas responsable de ses erreurs, tu aurais pu l’épargner, soupire Anne-Marie.— Mouais, tu le rajouteras à sa liste des bêtises de la soirée. Mon pantalon a encore plus glissé que d’habitude suite à la fessée. Ma foufoune est à deux doigts d’apparaître et je sens que ma raie des fesses émerge largement de l’autre côté. Je m’apprête à le faire remonter quand Anne-Marie m’interpelle : — Et arrêtez de tirer sur ce pantalon sans arrêt, c’est énervant à la fin. Laissez-le donc où il est et que je n’aie pas à le répéter.— Bien, Madame.— Remettez le fauteuil à sa place et tenez-vous derrière jusqu’à ce que j’aie besoin de vous. Prenant place, j’en profite pour regarder par la fenêtre l’immeuble d’en face. La silhouette est toujours là de l’autre côté, un étage plus haut. Évidemment, d’ici je ne peux confirmer que c’est Francis, mon patron, mais malgré tout, j’en suis certaine, comme je suis certaine qu’il ne manque rien de ce qui se passe ici. N’étant plus le centre d’intérêt des trois filles pour l’instant, je rajuste machinalement mon bustier qui, lui aussi, glisse vers le bas. Cela ne change pas grand-chose, mes seins débordent toujours autant dès que je relâche la lingerie. Mes larges aréoles sont à deux doigts d’apparaître. Je vois ...
... aussi qu’un appareil de photo est posé à côté d’Anne-Marie, je ne l’avais pas vu avant. J’ai certainement dû être prise en photo plusieurs fois depuis le début sans m’en rendre compte. Espérons que les clichés n’échoueront pas dans de mauvaises mains comme la dernière fois (NDA : voirL’odieux chantage). Je suis sur des charbons ardents après cette brève séance de fessée et le reste. Je meurs d’envie de me caresser ; là devant cette fenêtre et devant elles. De sortir mes seins de leur cache et de glisser ma main sur mon sexe que je sens brûlant et trempé. Mais non, je dois attendre car je suis soumise à leurs volontés, leur désir sera de me faire jouir à un moment ou à un autre et cela viendra bientôt et cela sera bien plus terrible que de simples caresses. Elles discutent quelques minutes comme si je n’étais pas là puis Anne-Marie m’ordonne : — Catherine, allez chercher la deuxième bouteille de champagne, il est temps de l’entamer.— Laisse, je vais y aller, je dois aller aux toilettes, coupe Marie.— Dans ce cas, servez des toasts en attendant. J’exécute l’ordre et je me penche sur Maryse avec mon plateau. Elle a les yeux fixés sur mon décolleté, mes seins débordent encore un peu plus de par ma position penchée. Je sens un regard d’envie, de jalousie, sa poitrine menue doit la complexer. Marie revient déjà, avant qu’elle ne rentre dans le salon, il me semble l’avoir vue du coin de l’œil agiter la bouteille. Croit-elle que c’est du jus de fruit ? Maryse me tend déjà son verre ...