La punition
Datte: 27/08/2017,
Catégories:
fff,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fgode,
champagne,
fouetfesse,
fsoumisaf,
vêtements,
... gémissements reprennent de plus belle, mélange de cris, de pleurs et de râles. Marie se lâche aussi : — Vas-y ! Gueule ton plaisir de chienne ! J’explose une nouvelle fois. Je n’avais jamais joui à une fréquence aussi rapide. Je ne crie plus, je hurle. Finalement, après quelques secondes, minutes, je ne sais, je ne suis plus qu’un sac vide, je suis épuisée. Marie me laisse enfin. Comme toujours quand je prends mon pied de nombreuse fois, je me sens fatiguée. Mais là, je suis totalement éreintée, proportionnellement au plaisir que j’ai reçu. Je vois vaguement Marie s’approcher de Maryse alors qu’Anne-Marie fait glisser sa robe sur ses épaules et dévoile sa poitrine. Je ne sais pas comment mais je me retrouve sur le fauteuil près de la fenêtre. Je m’endors, une main sur ma chatte, geste réflexe, à la recherche des quelques miettes de plaisir que je pourrais encore en tirer. Quand je me réveille, la pièce est vide, mon fauteuil est tourné face à la fenêtre. Comme je me redresse, toujours dans la même tenue, le bustier autour de la taille et mon pantalon-cuissard sur les jambes, j’entends la voix d’Anne-Marie. — On se réveille enfin ! J’ai dû ranger toute seule la pièce. Inutile de regarder autour de vous, tout le monde est parti depuis longtemps.— Ah ? Pardon, je…— Oui, endormie, ça j’ai vu. Bon j’aurais presque été satisfaite de vous sans cela. Malgré vos nombreuses bourdes, mes invitées étaient contentes de vous. Allez vous rhabiller, vous pouvez rentrer chez vous. Encore vaseuse, je reprends mes vêtements, Anne-Marie m’attend devant la porte d’entrée. — Comme je vous le disais, je ne suis pas totalement satisfaite de vous ce soir, je crains fort d’avoir à vous donner une nouvelle punition. Je vais y réfléchir, vous aurez bientôt de mes nouvelles.— Bien, Madame, au revoir.— Bonsoir. Alors que je passe devant elle pour sortir, elle lâche une grosse tape sur mes fesses en me disant : — Je vais arriver à faire quelque chose de vous.