1. La punition


    Datte: 27/08/2017, Catégories: fff, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fgode, champagne, fouetfesse, fsoumisaf, vêtements,

    ... plairait, en plus elle a tous les vices que tu aimes.— Une catin de plus pour Marie, c’est toujours la même qui est chouchoutée ! dit en rigolant Maryse plutôt muette jusqu’alors.— Je suis sûre qu’elle est aussi à ton goût et qu’elle fera tout pour s’adapter aux tiens, rassure Anne. Le claquement de mes talons annonçant mon arrivée coupe-là la conversation et quand je rentre dans le salon, les trois se regardent en échangeant des sourires de connivence. Comme je me suis arrêtée pour les observer, Anne-Marie lance : — Allez-y servez ! Ne restez pas plantée là !— Oui Madame, excusez-moi. Je sers Maryse et m’approche de Marie tout en remontant pour la énième fois mon bas qui ne pense qu’à descendre. Loin de me tendre son verre pour me faciliter la tâche, elle le garde près d’elle au niveau de son ventre alors qu’elle est profondément assise dans le fauteuil. Je commence à verser le précieux liquide quand elle bouge volontairement son verre. Je ne peux réagir à temps et une partie du champagne s’écoule sur elle. Marie tire sa tunique en arrière, me bouscule la main ce qui ne fait que faire couler plus de liquide sur son ventre et son entrejambe. Marie braille : — Quelle gourde ! Elle a vidé la bouteille sur moi.— Catherine ! Vous n’êtes décidément bonne à rien !— Pardon ! C’est que… elle a bougé le verre et…— En plus c’est de ma faute maintenant ! me lance Marie avec un regard hautain.— Ne restez pas là sans rien faire. Prenez le torchon derrière vous et essuyez-la.— Oui, ...
    ... pardon, je vais vous essuyer. Avec un sourire de satisfaction évident Marie remonte sa tunique et me laisse approcher le torchon à la main. Je commence à essuyer le tissu imbibé. L’humidité a rendu le legging légèrement transparent, je vois un triangle sombre se détacher sur le rouge clair du tissu. Je ne suis pas la seule à ne pas avoir de culotte pour la soirée on dirait. Alors que je m’attarde sur le ventre de Marie, elle me lance : — Plus bas vous voyez bien que c’est trempé là aussi ! Ma main toujours armée de son torchon glisse vers son entrejambe qu’elle écarte légèrement au premier contact. Du coin de l’œil, je vois le plaisir s’afficher sur son visage si sévère jusqu’à présent. Puis sa main me repousse. — C’est bon, le reste séchera à moins que vous soyez encore plus maladroite la prochaine fois.— Enlevez donc votre veste, si ça peut vous rendre moins gourde ! m’ordonne Anne-Marie.— Bien, Madame. Remontant une fois encore mon pantalon qui avait dégringolé pendant ma séance de nettoyage, je déboutonne la veste caraco dans la foulée et la dépose. C’est vrai que je respire mieux même si mon top me serre toujours et s’il est évident que le but n’est pas de m’aider à me sentir mieux. Marie croit bon d’ajouter : — S’il faut qu’elle ôte un vêtement à chaque bourde, je crois qu’elle va se retrouver très vite en petite tenue. Je ne la sens pas très douée, ton élève, Anne.— Pourtant je m’emploie à l’éduquer, je t’assure, mais tu connais aussi bien que moi le problème, certaines ...
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