1. LES BONS PETITS VIEUX


    Datte: 16/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    J’ai fait la connaissance du couple sexagénaire au cours de plusieurs réceptions. Louise était charmante. Par sa façon d’être, ses sourires engageants, sa conversation, son élégance naturelle. Au fil de nos rencontres nous avions sympathisé. Et ce fut au cours d’une discussion, qu’ils apprirent mon faible pour le ratafia. - Mais cela tombe bien, me fit René euphorique. Tu sais que Louise est bourguignonne, et que le ratafia n’a pas de secret pour elle. De mère en fille, elles se passent le savoir-faire. Tiens, même moi je ne sais pas le secret de fabrication. - Ah oui ! Répondais-je. - Passe un soir à la maison. Comme ça tu pourras en juger. Qu’est-ce que tu en dis ? Dans une époque où je ne crachais pas sur ce breuvage, il m’était impossible de décliner l’invitation qui m’avait été si aimablement offert. - Oui, cela pourrait se faire. Je me présentais donc à 20H00 précise devant la porte du domicile du couple. Ce fut René qui ouvrit, avec son épouse derrière lui. - Oh ! Alain ! S’exclama-t-il, radieux, un sourire tout émail. Comme si ma venue était une surprise. - Reste pas là, entre donc, Alain, ça nous fait tellement plaisir que tu sois venue. Fit Louise. C’était sans doute vrai. Comme à son habitude, elle était vêtue de façon élégante. Elle portait une robe en cuir, ses jambes étaient gainées de ce que j’espérais être des bas noirs. et était chaussée de mules. Elle me faisait, comme l’on dit, beaucoup d’effet. Sa tenue mettait en avant une poitrine que je supposais ...
    ... très ferme. Je ressentais en moi un désir qui, vu toutes nos différences, était probablement impossible à satisfaire. J’ai franchi l’entrée. Il se dégageait de la cuisine une bonne odeur de pâtisserie. Dans la grande salle de séjour, se tenait côté salon, une jolie table ronde qui avait été dressée de pas mal de bonne chose déguster. - Installez-vous dans les fauteuils, nous lançâmes Louise, je vais chercher la bouteille. Alors qu’elle s'éloignait vers la cuisine, René dit : - Prends donc place sur ce fauteuil, nous allons avec Louise prendre le canapé. La maîtresse de maison revint avec une bouteille ambrée dans la main. - Je fais le service, lança-t-elle. - S'il te plaît chérie, répondit René à la voler. Après avoir choqué nos verres, je portais le verre à mes lèvres. Et buvait une gorgée pour le déguster. C’était sans doute un des meilleurs que j’avais bus jusqu’à maintenant, et je le lui fis part : - Un pur délice ma chère Louise. Mais bien alcoolisé tout de même. La louange fit roussir ses joues. Sitôt la première bouteille vidée, Louise fut enchantée d’allait en chercher une seconde. L’alcool aidant, le déroulement de la soirée avaient pris une autre tournure. Louise faisait de moins en moins attention à sa contenance. J’avais eu les loisirs à plusieurs reprises, de constater qu’elle portait bien des bas, sans porte-jarretelles pour mon plus grand désarroi. Très vite des allusions de sexe firent son entrée dans notre discussion. René ne se privant pas à deux ou trois ...
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