LES BONS PETITS VIEUX
Datte: 16/06/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... reprises, de poser sa pogne sur le genou de sa femme, sans que cela offusque l’intéresser. Tout au contraire, cela avait l’air de la satisfaire. À un moment, je ne sais pourquoi, elle secoua l’ourlet de sa robe comme si elle avait un besoin de s’aérer. Ce qui me permit de constater qu’elle portait une culotte blanche. Je m’étais pas gêné de river mon regard dessus, sous les yeux de plus en plus brillants de sa propriétaire. Qui prenait désormais plaisir de jouer avec ses jambes. Les croisant et décroisant de plus en plus souvent. Battant par la même occasion l’air avec son pied, adorablement chaussé de petite mule. Hormis ses gestes, Louise s’enhardissait de plus en plus à des grivoiseries verbales, du genre : - l’alcool ça me chauffe un peu les fesses. Ça sonnait comme un signal. Celui de débauche. Et René fut le premier à s’autoriser une fantaisie plus osez que ce qu'il faisait jusqu'à maintenant. Faisant disparaître sa main sous la robe. La coquine se laissa tripoter, riant comme l’aurait fait une adolescente lors de son premier pelotage. S’offusquant devant rien, elle s’installa à califourchon sur les genoux de son époux, tout en gesticulant. Avec l’air goguenard qui lui était familier, René lança : - Doucement, Lulu ! Nous ne sommes pas tout seul ! - Et alors ? Ce n’est qu’Alain. Répliqua-t-elle Je sentais qu'il allait se passer quelque entre nous. L’effet ratafia. C’était peut-être ce que l’on voulait me faire croire. Mais je pensais, et encore maintenant, que ...
... l’alcool était juste pour eux un prétexte pour s’autoriser à sombrer dans la débauche. Elle poussa même le vice à me consulter : - Comment trouves-tu les dessous que je porte. Ils sont beaux, hein ! Tu sais, tu peux toucher. Elle ne va pas de mordre. - Mais Lulu, ça ne va pas, voyant. Un beau jeune homme comme lui avec un vieux p… - Mais arrête, coupa Louise, cela ne gêne nullement Alain. N’est-ce pas mon lapin ? Après un temps de réflexion, elle ajouta : - il attend que ça. Qu’on lui donne l’autorisation de toucher… - Ma chérie ! Protesta René. - Bah ! Si ! Bien sûr ! Il sent que je suis toute chose. - Et bien ma chérie. Quel tempérament ! Puis me regardant dans les yeux, adjoignirent : - dis-moi, Alain, qu’est-ce que tu lui as fait pour qu’elle parle comme ça ? - Je pense que le coupable est le ratafia. Elle en a peut-être trop abusé. Mais je t’en fais pas pour toi, René, je trouve la soirée très constructible. - Ah bon ! Tu penses donc que c’est la faute du ratafia. Alors chérie qu’attends-tu pour aller en chercher une autre. Elle ne se le fit pas dire deux fois, descendant de sa monture et disparut du côté de la cuisine. Quand elle réapparut, ce fut tenant une bouteille en main. Alors qu’elle emplissait les verres René enfouit de nouveau sa main sous la robe de sa moitié, en s’exclamant : - Oh ! Je pense comme toi, Alain cette soirée est très constructible. Louise penchée au-dessus du verre s’immobilisa. Elle se figea même la bouteille en l'air. - Je te sens étonner par le ...