1. Couleur café…Que j'aime ta c...... (1)


    Datte: 16/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... comme si elle voulait me parler. Il est évident que ma présence la dérange. Mais les hommes la remettent sur le droit chemin. Les deux bittes à peine ramollies par l’incident retrouvent la chaleur de la gorge. Le troisième homme, la caresse et il est évident qu’il doit la pénétrer avec les doigts car elle se tortille. — Elle est toute mouillée. Elle suce bien hein…Elle te suce aussi comme ça ? — Oui. — Et tu l’a déjà vue avec des autres mecs ? — Non. Enfin si, dans les vidéos. — Ce fameux voyage en Afrique dont elle nous a parlé ? — Oui. — Il parait que toi aussi tu t’es bien amusé. — Oui. — Et là, ça t’excite. ? — Oui. — Montre-nous ! Montre-lui. Déshabille-toi. Tu seras prêt quand on va te laisser la place. Je m’exécute. Mon érection parle pour moi. Je crois voir dans les yeux de Nadia, qui me découvre bandant, une lueur malicieuse et moqueuse. — Allez à toi de montrer à ton mari ce que tu aimes ici. Dit l’homme en parlant à Nadia. La salope ne se fait pas prier. Déjà elle se relève et avec un regard vicieux vers moi vient chevaucher un des hommes. — T’as vu comme elle est chaude. Me fait constater celui qui est manifestement le plus pervers des trois. Ce n’était pas la peine de me le dire. La façon dont Nadia s’est laissé tomber sur la longue bitte noire montre son envie mais aussi son expérience de telles situations. Combien de fois est-elle venue depuis notre retour en France ? Six, sept fois m’avait montré le GPS du smartphone. Je n’avais rien remarqué et pourtant elle ...
    ... devait être repue si à chaque fois plusieurs hommes l’avaient baisée. Pour l’instant c’est elle qui se fait du bien. — Putain, c’est bon. Avoue la salope, oubliant que son mari est présent. A moins qu’elle ne l’oublie pas et que le vice la pousse à se comporter ainsi. Oh que non elle ne l’oublie pas. Son regard constate une bitte maritale si tendue qu’on la pourrait croire droguée. Mais non, c’est juste Elle, l’amant sur lequel elle se fait du bien et l’autre qui attend. Il n’attend pas longtemps. Je ne peux que constater que tout se déroule comme un ballet répété de nombreuses fois. Alors que l’homme cherche sa place derrière Nadia, une place que les deux protagonistes lui libèrent en déplaçant leurs jambes, ma femme se penche sur son amant noir. L’autre décidemment expérimenté commence déjà à lui ouvrir les fesses avec les pouces qui pointent vers le cul. Une fontaine de salive tombe vers son but. Le gland pointe déjà. Il pousse. Il pousse. — Ahhhh. Longue litanie qui sort des lèvres de l’enculée alors que le dard progresse. — Viens regarder de plus près. Me propose le troisième. Plus prêt c’est splendide. Je n’ai pas peur de le dire. Ces deux tiges sombres qui dilatent, qui cul, qui chatte. Ces deux paires de couilles qui sont si prêtes qu’on les croirait soudée. Et tout ce blanc qui ondule entre ces deux mandrins. — T’aime ça salope ? Bien prise par deux bittes noires. Pourtant ton mari, (l’homme jette un regard à mon mandrin tendu), en a aussi une belle. C’est la couleur ...