1. Couleur café…Que j'aime ta c...... (1)


    Datte: 16/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... qui t’excite. T’es une bourgeoise perverse qui vient s’encanailler avec nous. Dit le à ton mari ce que tu es. Nadia est prise jusqu’à la garde. Le trio sait exactement comment faire afin que la pute blanche soit enfilée au plus profond, au plus intime. — Pierre excuse-moi. La claque qui accompagne le coup de rein de l’enculeur la surprend. — Il ne veut pas d’excuse. Il veut que tu lui dises qui tu es. — Je suis….Je suis…Ahhh, c’est bon. Ils me remplissent…Pierre ils sont gros et puissants…J’aime…Je suis désolée mais je ne peux pas me retenir. J’aime leur corps, leurs muscles, leur peau sombre, leur sexe…. Elle bouge sur les mandrins. Elle se tortille. — Regarde, comme elle aime ça. — Oui j’aime…J’aime…. Elle bouge sur eux. Je vois parfaitement chatte et cul se libérer et se reprendre aussitôt sur les deux bâtons. — Oui…Oui….Je suis une salope…Une….Oh c’est bon…Une pute… C’est fort. C’est puissant. Les vidéos ne sont rien comparées à ce que je vois. Deux hommes baisent ma femme. Moi je bande comme un malade. Ma bitte n’a pas à rougir comparée à celle du troisième homme. Ma femme se baise sous mon regard, mais elle aussi me regarde. Elle voit ma trique et semble se réveiller de ses possessions. Elle fait signe de la main au troisième. La salope va certainement le sucer, remplissant ainsi le dernier orifice. Je vais la voir souillée par trois blacks. Suprême injure ! Suprême délice ! Mais non elle lui parle à l’oreille. Un instant tous deux me regardent. Et puis l’homme ...
    ... revient vers moi. — Alors comme ça toi aussi tu aimes bien les bittes noires ? Je comprends ce qu’a dû dire ma femme. La garce, elle cherche à m’entrainer dans son vice. Ce n’est pas parce qu’une fois je me suis fait défoncer le cul par un roi bien monté que cela doit devenir le quotidien. — Tiens regarde celle-là. Montre-moi…. L’homme approche son sexe de mon visage. Son gland bute contre mes lèvres. Il le pousse, forçant un passage que je ne défends pas outre mesure. — Attends…..Assied toi là, à coté de ta pute de femme, qu’elle aussi puisse bien voir. Décidemment ce gars à le sens de la perversité ! Je m’assieds sur le bord du lit. Debout devant moi, la bitte horizontale pointe vers moi. J’entrouvre les lèvres. Il ne me force plus. C’est moi qui goute à son gland, le titillant de ma langue, l’enrobant de mes lèvres. C’est la deuxième queue que je suce. La première dans la cabane au fin fond de l’Afrique, avec l’excuse d’être sous l’emprise d’une décoction. La seconde c’est ici. Cette fois je déguste mieux. J’aime cette délicatesse de la peau, la rondeur du gland, le sillon que ma langue découvre avant de descendre plus bas. J’en gobe une bonne moitié. J’ai des progrès à faire! — Hé ! C’est qu’il suce pas mal. Ton mec. Suprême injure ! Suprême compliment. — Tu vas être mon premier blanc. Tourne-toi. Alors je ne pense plus. Sous les yeux de ma femme, a portée de sa main, je m’installe à quatre pattes sur le lit offrant à cet hommes mes fesses laiteuses, un peu grasses mais qu’il ...