1. Fou amoureux ma soeur et moi (2)


    Datte: 16/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... j’ai renchéri: — C’est important et long à expliquer. Tu viens s’il te plait ? Elle m’a suivi sans dire un mot. Je l’ai conduit vers ce que je savais être la chambre d’amis de la maison. Après qu’elle soit entrée, j’ai refermé derrière elle. Bien sûr que je savais qu’avec le bruit extérieur et le lieu éloigné, personne n’écouterait notre conversation. J’ai commencé par le lui dire. Et avant qu’elle ne place un seul mot, je l’ai embrassé sur la bouche. Elle s’est automatiquement retirée et m’a giflé, elle m’a fixé quelques secondes avec un visage impassif, puis elle m’a contourné sans se presser, prenant la direction de la porte. Je me suis blotti contre son dos, debout en la serrant très fort dans mes bras. Là, sans bouger, elle a dit d’un ton ferme et assuré: — Je vais crier Dan. Je ne veux pas qu’un scandale s’abatte sur toi. Va rejoindre ta femme. En même temps quelqu’un vint frapper à la porte. C’était l’une de ses amis. Elle l’avait renvoyé nerveusement en disant qu’elle ne voudrait aucunement être dérangée par qui que ce soit. Je ne bougeais pas et j’étais silencieux. Elle non plus ne bougeait toujours pas. En suite d’un temps moins sévère elle me dit: — Daniel je t’en prie. Je t’aime, je ne veux pas te faire du mal. Respect ma décision. Je me marie dans deux jours. Tu veux quoi, que je quitte Donald pour t’épouser ? Sa voix était de moins en moins grave et son ton de moins en moins autoritaire... — Je préfère être en prison, plutôt que te perdre. Je lui ai dit. J’ai ...
    ... senti ses muscles relâcher. Sans toujours bouger, elle m’a demandé gentiment de la lâcher pour qu’on se parle. Je l’avais fait. On s’est assis sur le lit côte à côte. Elle me regardait droit dans les yeux, et comme toujours j’avais dû mal à soutenir son regard. — Tu pensais à quoi dis-moi ? Es-tu désespéré à ce point ? Bien, il faut que tu saches que je rentre après le mariage. J’ai enclenché la procédure pour l’obtention de la nationalité. Je ne vivrai plus ici. Je ne reviendrai peut-être jamais. Je veux que tu cesses de rêver. Pense à ton enfant qui vient et à ta femme... Alors qu’elle continuait à parler, je me suis mis à genoux. — Mais qu’est-ce que tu fais ? Elle a dit. J’ai commencé à lui ôter ses ballerines en lui parlant en même temps. Elle s’est mise debout. Je lui disais: — Traite-moi comme tu veux, mon cœur t’appartient et je t’appartiens. Aime-moi ou déteste-moi, mais moi je ne peux pas me séparer de toi. Épouses Donald où qui tu veux, ça ne change rien pour moi, je t’aimerai toujours. Je lui disais ces choses alors que des larmes me coulaient des yeux. Je la suivais appuyé sur mes genoux, serré contre elle, j’avais les mains sur ses fesses. Elle essayait de se retirer de moi, mais moi j’enfonçais un peu plus mon visage dans son entrejambe, j’en reniflais le parfum, la mordillais même un tout petit peu tentant de retirer le zip de son slim avec mes dents. Elle venait comme de vibrer, c’est comme si elle avait reçu une décharge électrique. Je l’ai vu tombé sur le ...