1. Fou amoureux ma soeur et moi (2)


    Datte: 16/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... lit. Elle me dit presque en chuchotant: — Arrête s’il te plaît choux. En disant ça, elle venait de me donner le mot que j’attendais depuis tout ce temps. Je lui ai dit merci. Je me suis mis sur elle. Nous étions toujours habillés. Et là, comme pour l’a provoqué je lui ai dit que je j’arrêterais quand elle le voudrait. Elle n’avait pas réagi du tout. Je l’ai embrassé sur le front, puis dans le coup, puis sur le coin des lèvres. Elle ne réagissait pas. J’avais cette impression étrange d’être en face de la petite Céline d’il y avait cinq ou six ans. J’ai commencé à la déboutonner. Je l’ai embrassé entre ses deux seins, en suite un peu plus bas, puis sur le nombril où j’ai expressément introduit ma langue. Elle a eu une fois de plus ce fameux spasme. Elle m’a tiré par les cheveux jusqu’au niveau de son visage, ça m’avait fait un peu mal mais elle m’avait gratifié d’un ces baisers fougueux. Je lui retirais en même temps son slim. Et alors que je glissais ma main dans sa culotte et tentais d’introduire un doigt dans son intimité, elle me saisit de l’autre main comme pour me dire pas jusque-là. qymqaaot Je lui ai dit dans l’oreille: — Je t’aime petite sœur. Et là on dirait que j’avais appuyé sur le bon bouton. Elle a légèrement écarté ses cuisses, puis a conduit ma main dans son intimité avec cette même main qui m’avait stoppé net. Elle ondulait du bassin, son sous-vêtement était maintenant tout imbibé de liquide. Elle ouvrait et fermait sans cesse les yeux comme si elle avait de ...
    ... légères convulsions. Je l’ai embrassé à nouveau, j’ai baissé mon pantalon et son slip et je l’ai pénétré sans effort. Elle était tellement moite que j’ai simplement glissé en elle. Elle m’a dit: — Tu me tues choux... Alors que je la baisouillais, je lui disais en même temps tous les mots tendres que je trouvais. Elle gémissait à ne plus se rendre compte d’où on se trouvait. Je lui ai fait l’amour jusqu’à ce qu’elle jouisse blotti contre moi. J’ai continué à la pénétrer jusqu’à jouir à mon tour. On s’est allongé l’un à côté de l’autre. Ça faisait maintenant plus de deux heures qu’on était enfermé, quand j’ai entrepris de la lécher l’entrejambe. J’avais la tête figée entre ses cuisses, pour tout dire j’adorais ça et sûrement elle aussi. Puisqu’elle ne cessait de balancer son bassin en avant. C’est sans doute à cause de ce plaisir ressenti et des clapotis de ma langue sur ses lèvres intimes que nous n’avons pas fait attention au bruit de la serrure qui s’ouvrait de l’extérieur. Théo était entré. C’est un cri étouffé et "merde", qui nous avait fait sursauter. Théo a couru refermer elle-même la porte. Céline avait reculé jusqu’au mûr et s’était couverte du drap toute horrifiée. Et moi je j’essayais de me rhabiller vite, tout en tremblant comme une feuille. Je n’arrivais pas à savoir si Théo était dégoûté ou était en colère. C’était un mélange des deux je dirais. Elle respirait fort, comme si elle était en panique. Évidemment qu’elle l’était. Mais elle faisait montre d’un de ces ...