1. Bécassine c'est ma voisine


    Datte: 17/06/2019, Catégories: Mature,

    ... minauda-telle.— Elle était dans mon frigo, alors… niaisai-je à mon tour.Pendant que les côtelettes d’agneau grillaient sur le bbc, nous vidâmes la bouteille en picorant des amuse-gueule. Bécassine supportait bien l’alcool, mais une bouteille à deux, ça déménage et ça réchauffe. Prétextant l’inconfort de ses chaises de jardin, elle avait dressé la table pour que nous nous asseyions côte à côte sur la banquette adossée au mur de la maison. Au début côté à côte puis, après quelques verres, hanche à hanche. La situation dérapait rapidement. Les joues rouges, les yeux brillants, Bécassine, posant ma main sur mon short, s’en prit soudain à la libido de son mari en attaquant par la bande.— Vous avez de la chance, Guillaume.— Ah bon ?— Vous vous entendez bien avec votre femme.— Ben, vous avec Jean-Pierre, ça l’air d’être pas mal.— Sexuellement, je veux dire, soupira-t-elle, rougissant comme si elle avait prononcé un gros mot.Ce en quoi, elle n’avait pas tort. Malgré nos soixante ans révolus, nous avions toujours une vie sexuelle agréable. Sans doute parce que nous savions la pimenter. Mais comment pouvait-elle savoir cela ?— Qu’est-ce qui vous fait dire cela ?— Je… je… je vous ai vus, balbutia-t-elle.Elle n’était plus rouge, mais écarlate. Sa gorge se soulevait spasmodiquement au gré de sa respiration saccadée ; ses tétons tendaient la mince étoffe de son corsage, révélant son émotion.— Vous nous avez vus ?— Oui… oui… Sur votre balcon, cet été.**********Damned, mais c’est bien ...
    ... sûr ! Le 14 juillet, le feu d’artifice, le feu d’artifesses, celles de Mathilde ou l’histoire d’un défi stupide. Chaque année, à l’occasion de la fête nationale, un feu d’artifice est tiré sur le lac de Nantua. Nous y assistons régulièrement. Aussi, plutôt que de nous mêler à la foule, l’an passé nous avions pris un sentier qui nous avait menés bien au-dessus du lac.En redescendant, nous avions entendu des bruits, genre soupirs et halètements, provenant d’un fourré. Discrètement, nous nous étions approchés. Deux jeunots s’adonnaient au jeu de la bête à deux dos, avec un enthousiasme juvénile à en juger par les cris naviguant dans les aigus de la jeune personne. Nous les observâmes. Ils n’avaient pas pris la peine de se déshabiller : la jupe (robe ?) de la jeune fille était remontée sur son ventre, sa culotte pendue à sa cheville oscillait tel un d****au au vent au gré de ses gesticulations. Le garçon, quant à lui, s’était contenté de descendre son jean sur ses genoux. Le spectacle de ses jeunes fesses nues se soulevant au rythme de ses pénétrations était charmant. Je serais bien resté un peu plus, mais Mathilde me prit par la main et me ramena sur le sentier.— Ne les dérangeons pas. Coitus interruptus, ce peut-être traumatisant quand ce n’est pas voulu. Imagine que ce soit sa première fois : nous pourrions détruire un amour éternel, ajouta-t-elle, cynique.Quelques mètres plus loin, elle en remit une couche avec perfidie :— C’est pas toi qui me baiserais comme ça en dehors du ...
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