1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°859)


    Datte: 17/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°858) – Lorsque je regagnai la chambre d’hôtel le soir, un mail du Maître m’attendait… « Ma chienne, je te veux au Château dimanche soir ! Exceptionnellement mon jet privé n’est pas disponible et donc tu devras prendre la route après avoir déposé tes filles chez ton mari après le déjeuner. Tu arriveras tard, alors tu iras directement au Chenil pour te reposer. Tu laisseras ta voiture devant le perron du Château, tu y laisseras tes vêtements et tout ce qui fait ta vie vanille dedans. Comme à l’accoutumée, tu te mettras en ‘tenue’ de ce que tu es, une simple soumise. A dimanche comme exigé ! » Mon chef m’avait proposé de prendre mon vendredi de congé pour préparer mes affaires pour mon départ, mais ne possédant plus grand-chose, j’avais refusé. Ce jour passa vite, j’allais chercher mes filles chez leur père qui m’adressa à peine un bonjour. On voyait bien qu’il ne me les laissait pas de gaité de cœur. J’aurai tellement voulu pouvoir parler avec lui, essayer de lui faire comprendre que ma relation avec le Maître n’avait rien de répugnant, de honteux, et qu’au contraire c’était grâce à Lui que j’avais retrouvé confiance en moi, que je m’épanouissais. Mais il ne m’en laissait jamais l’occasion, prétextant, dès que j’essayais d’entamer une conversation, qu’il avait des choses urgentes à faire ou que ma façon de voir les choses de ma relation D/s sortait de l’entendement. Le week-end se passa rapidement, à profiter à fond de la ...
    ... présence de mes filles, et à préparer les petites choses que j’emmenais avec moi dans le Beaujolais… Je déposais mes filles chez mon mari puis je pris la route jusqu’au Château qui se passa sans encombre. Certainement pour ne pas me retarder, je ne reçus aucun ordre sur le trajet. J’arrivais devant la noble Demeure à 23h. Obéissant au message que j’avais reçu, je me garais devant le perron, je me dévêtis, je passais mon collier, ma laisse, posais mes pinces aux tétons, me bâillonnais la bouche, m’enfonçais un plug long et épais dans le cul, et je me dirigeais frissonnante vers le Chenil. Là, je trouvais une niche neuve, avec une petite pancarte «Niche de chienne-soumise Marion MDE ». J’entrais donc dedans, découvrant une épaisse couverture. Fatiguée par le voyage, je me couchais et m’endormis rapidement avec bonheur, le sentiment d’être à ma place, enfin… Le lendemain se fut Walter qui vint me réveiller, sans un mot, mais avec un tuyau d’arrosage projetant un jet d’eau froide. Pas de doute, j’étais bien revenue au Château ! - Allez, debout la chienne ! il est 7h du matin, et il faut te préparer pour ton premier jour de travail auprès de Monsieur le Marquis. Et je te préviens de suite, Il est au moins aussi exigeant envers Ses chiens au Château, qu’envers ses employés vanille, mais beaucoup plus avec ceux qui portent les deux casquettes ! Sur ses mots, Il empoigna ma laisse et me tira sans ménagement hors de ma niche et du Chenil. Il me conduisit aux écuries et après m’avoir à ...
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