1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°859)


    Datte: 17/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... nouveau arrosée au jet d’eau, il m’étrilla vigoureusement, en n’oubliant aucune partie du corps, pas même mes parties intimes à la peau si sensible ! Une fois récurée, il m’autorisa à me tenir debout et à mettre des chaussures avant de m’emmener au Château afin de ne pas gâcher son travail minutieux de propreté. Mais dès le pas de la porte, il fallut à nouveau me mettre en quadrupédie dans une nudité totale. Nous nous dirigeâmes vers la cuisine. Là Marie, la perverse cuisinière du Château vint près de moi, après avoir salué chaleureusement le Majordome. Sa main passa vicieusement sur tout mon corps, palpant, malaxant, étirant tout ce qui pouvait l’être, tétons, lèvres, lèvres intimes… elle fourra sans préparation trois doigts dans ma chatte bien excitée et après quelques vas et viens, me fit lécher ses doigts. - Tu dois avoir faim et soif la chienne, alors viens te désaltérer à ma source, dit-elle avec un sourire vicieux. Et elle s’approcha encore plus de moi. Elle resta debout, jambes écartées et me plaquant ma tête entre ses jambes, elle souleva sa robe aux dessous sans aucune culotte, puis elle m’ordonna de la lécher. Son sexe était parfaitement épilé et montrait une fente lisse et gonflée. Je m’appliquais du mieux possible à passer ma langue sur sa chatte déjà bien humide. Je m’attelais à titiller son petit bouton rose bien développée et du bout de ma langue je le branlais frénétiquement, je passais aussi entre mes lèvres buccales, ses lèvres intimes gorgées de désirs et ...
    ... je les aspirais, léchais, embrassais avec envie de donner du plaisir. Ma langue devait lui procurer de bonnes sensations excitantes car au bout d’un moment, elle commença à faire bouger son bassin en des petits coups de reins contre mon visage et elle se mit à gémir de plaisir quand elle plaqua fortement ma tête contre son sexe. Ma langue était désormais entrée dans son vagin et léchait, tournait, râpait ses parois vaginales quand elle m’inonda le visage de son orgasme spontané ponctué de cris jouissifs qu’elle laissa échapper de sa bouche. Ensuite elle resta totalement immobile et au bout d’un moment où je ne réussis pas à me dégager de son étreinte contre son bas-ventre, elle décida de m’abreuver de son urine en se soulageant directement dans ma bouche. Pendant ce temps, Walter avait fait arrêter une soumise s’affairant sur les petits déjeuners pour se faire sucer, et au moment où il allait exploser, il repoussa fermement la chienne, pour se vider dans une gamelle déjà prête. Alors que Marie me laissait enfin respirer, il m’interpella : - Eh la chienne ! Maintenant que tu as bien bu, viens vite manger ta pâtée ! Je t’y ai rajouté un petit complément alimentaire, qui ne pourra que te faire du bien, vu la longue journée qui t’attend ! Je me dépêchais donc d’aller à quatre pattes vers l’assiette qu’il venait de poser au sol et de la laper goulument. J’étais affamée, je ne mis pas longtemps à la vider et à la nettoyer consciencieusement avec ma langue… Je me demandais en quoi ...