1. Gouttes et pluie


    Datte: 17/06/2019, Catégories: fh, frousses, couple, douche, amour, volupté, pénétratio,

    ... de son mont de Vénus et souffle dessus. Son corps entier tremble et j’en suis satisfait. Je pose ma paume sur son sexe et je me redresse tout contre elle, mon membre battant sa cuisse. Elle a ces yeux illuminés que je lui connais bien et qui s’embrument alors que ma main continue de la frotter. Même sous cette pluie torride et chaude, on ne peut s’empêcher d’être doux et lents. Je prends son visage dans une main, lui caresse la joue et à nouveau l’embrasse. Je veux qu’elle sente le calme qui m’envahit, je veux qu’elle sache que nous avons toute la nuit et qu’on peut faire exploser le chauffe-eau. Elle passe ses bras autour de mon cou, vient chercher ma langue de la sienne. Je sens ses jambes s’ouvrir et remonter le long de moi pour m’enserrer, m’emprisonner contre elle, elle qui s’emprisonne contre moi. Ses chevilles sont entravées par ses vêtements. Elle me regarde de haut, elle attend en silence. Je prends mon sexe en main et l’approche du sien, que je frotte un instant pour jouer avec nos ardeurs. Je le presse à l’entrée de cette grotte humide et m’y enfonce doucement. Un gémissement doux s’élève d’entre ses lèvres, alors qu’elle s’écarte de moi, se laissant aller. Je passe ma main sous elle pour la soutenir et m’introduis délicatement. Elle râle, elle souffle, elle sourit. Plaqué contre elle, je m’occupe à bouger en elle, nous laissant nous repaître de cette douceur et de cette envie. J’entame enfin le mouvement, elle reste accrochée à mes épaules, à mon corps. J’ai ...
    ... son buste à porter de bouche. J’enfonce mon nez dans son cou, j’embrasse la chair tendre. L’humidité décuple l’odeur de nos désirs. Elle hoquette parfois, sinon elle n’a de cesse de soupirer et de râler. Jamais le rythme n’est effréné, il reste ample et profond, même lent. Nous n’en finissons plus de nous toucher et de nous embrasser, c’est presque comme si on ne sentait plus à quel point nous sommes l’un dans l’autre. Je caresse son dos et ses fesses de mes mains qui la soutiennent. Elle s’attarde sur moi, alors que ses mains coulent dans mes cheveux, alors qu’elle suit les gouttes sur mes bras, du bout de ses ongles. Je bois à même son corps l’eau tiède, la sueur salée, la douceur de ses lèvres. Le temps a glissé loin, il s’est presque éteint pour nous laisser profiter d’un instant d’une beauté rare, tandis que les va-et-vient se font plus profonds, lascifs, et nous transportent. La jouissance vient d’elle-même, en nous inondant. Elle est forte et intense. Malgré la chaleur, je sens mon corps se couvrir de chair de poule et le sien qui frissonne. J’ai l’impression que la douche a explosé et d’être plongé sous des trombes, alors que le temps ralentit et que tout autour de moi se fait fluide. Il n’y a plus maintenant que le bruit de l’eau qui tombe et nos souffles emballés. Nos regards enfiévrés l’un dans l’autre. Nos sexes l’un dans l’autre. Tout en l’embrassant, je l’attire avec moi dans la baignoire, alors que ses jambes flageolent encore. Alors qu’elle reprend son souffle ...