1. confession de ma soeur


    Datte: 18/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    Ma soeur esseulée.Rien ne me destinait à l’infidélité, si ce n’est quelques inévitables fantasmes que l’on évacue seul par une bonne masturbation… Et pourtant…Il y a deux mois, je dus me rendre en déplacement professionnel au Havre, pour trois jours. Cela ne m’enchantait guère, étant plutôt casanier. Il fut donc convenu avec ma sœur,Josiane, que je logerai chez elle durant ces quelques jours.Josiane est une jolie femme de 38 ans, très bourgeoise, mais charmante. Je l’ai toujours trouvée très attirante. Poitrine assez « banale », elle est très mignonne et possède des jambes et un petit cul à faire pâlir d’envie tous les hommes de la planète. Mariée et mère d’une petite fille, elle est éloignée depuis huit bons mois de son mari, en déplacement pour un an à l’étranger.Comme convenu, j’arrivai le premier soir, après une journée de boulot plutôt décevante, pour l’heure du dîner. ma soeur sembla ravie de me retrouver et sans doute très heureuse de casser la monotonie d’une vie de mère seule au foyer.On se mit à table rapidement après avoir couché ma petite-nièce Christine. Le repas fut délicieux. Nous échangions des nouvelles de nos petites familles respectives. Rapidement, elle en vint à me faire part de la difficulté qu’elle avait à vivre seule depuis de longs mois.J’essayais autant que possible de lui remonter le moral, chose pas vraiment aisée, rien n’y faisait. Je ne pouvais que comprendre : Absence de partage avec son mari, plus de papa pour Christine, et puis, au détour ...
    ... d’une phrase, comme un aveu arraché :– Et puis, je ne suis pas de bois. Eric me manque tant, que je rêve la nuit de nos longues étreintes…Je me rendis alors soudain compte que son regard avait changé depuis un petit moment. J’avais l’impression d’être dévoré des yeux.Je ne pus m’empêcher de la détailler : Chemisier blanc, jupe droite et collants (ou bas…) noirs, elle n’avait pas changé son look de bourgeoise chic.Ce qui m’attira l’œil, c’est que je me rendis compte qu’à travers son chemisier blanc, ses seins pointaient fièrement vers le ciel… Décidément, me dis-je, elle est vraiment en manque.Le repas se termina rapidement, nous sommes passés au salon pour finir la soirée de manière sympathique. Je la sentais langoureuse, féline. Elle croisait et décroisait les jambes devant moi, me laissant voir haut ses cuisses,à la peau si satinée Je tentais de garder la tête froide," c'est quand même ta soeur !!! "me dis-je. mais décidais d’abréger la soirée.Prétextant l’heure tardive et la fatigue, je me levais donc lui souhaitant bonne nuit et regagnais ma chambre.Je fus réveillé au bout d’une bonne demi-heure par des gémissements étouffés.Étant à côté de la chambre de la petite, je crus immédiatement qu’elle venait de faire un cauchemar. Lorsque j’ouvris sa porte, je ne pus que constater qu’elle dormait à poings fermés. C’est alors que je m’aperçus que la porte de Josiane était entrebâillée, et que c’était de là que provenaient les gémissements.Je poussais la porte lentement, et fut ...
«123»