confession de ma soeur
Datte: 18/06/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... stupéfait de la vision que la lumière de la table de nuit me renvoya.Ma grande soeur était allongée sur le dos, les jambes repliées et écartées, le chemisier ouvert sur un soutien-gorge en dentelle blanche. Sa jupe était remontée jusqu’à ses fesses, laissant apparaître de jolis bas noirs et une culotte assortie à son soutien-gorge.De la main gauche, elle se caressait les seins, la droite était perdue dans sa culotte et accomplissait des mouvements de va-et-vient clairement à l’origine des gémissements de moins en moins discrets entendus tout à l’heureJe sentis ma verge se durcir, se dresser. En trente secondes, mon érection était telle qu’elle me faisait mal.Lentement je m’approchais du lit. Son visage exprimait un vif plaisir.C’est au moment où je baissais mon short qu’elle ouvrit les yeux. Elle s’arrêta net et voulut se cacher, mais son regard se fixa sur mon membre dressé fièrement devant elle.Josiane était figée, comme hypnotisée par la vision de ce dont elle rêvait depuis tant de semaines. Elle me sourit et s’assis en face de moi, au bord de son lit.– oh p'tit frère comme t'est bien monté ...Je suis sûre que cela sera nettement plus agréable avec ça… dit-elle en prenant ma verge dans sa main.Lentement, elle commença un mouvement de va-et-vient vertical. Ma verge durcie encore.Josiane ouvrit la bouche, et se mit à lécher mon vit de bas en haut, comme un esquimau. Je ne pus m’empêcher de gémir de plaisir. Elle finit par gober le plus loin possible ma queue.Je pris sa tête ...
... entre mes mains et lui imposa un rythme de plus en plus soutenu. Elle semblait prendre du plaisir à me voir ainsi à la merci de sa langue. Je ne pus résister bien longtemps.Elle me sentit venir et accéléra elle-même le mouvement, me malaxant les testicules avec sa main libre. Finalement, dans un râle dont je ne me serais jamais cru capable, ma verge enfla, et cracha ma jouissance en de longs jets épais.Ma soeur me pompait comme une experte, elle avala chacun d’entre eux avec délectation, puis me nettoya la verge avec application. Josiane se releva et nos bouches s’unirent pour un baiser fougueux.Je l’allongeai sur le lit et commençai à caresser lentement ses cuisses galbées de noir. Plus mes mains remontaient, plus ses jambes s’écartaient. Son souffle s’accélérait.Arrivé en haut de ses bas, à l’endroit où la peau réapparaît, ma langue prit la place de mes mains. Elle se faufila jusqu’à la lisière de sa culotte de dentelle blanche qui laissait voir ses poils pubiens et une large tâche, preuve de son excitation.Délicatement, je la retirais. Mes yeux se fixèrent sur son sexe ouvert par l’attente.Je commençais alors un lent travail de monter en jouissance, ma langue titillant son clitoris, s’immisçant entre ses lèvres, dans son intimité chaude et mouillée.Ses gémissements se faisaient à nouveau de plus en plus expressifs. Je fus surpris, lorsque dans un soubresaut, elle me plaqua la tête entre ses cuisses en laissant échapper des petits cris stridents.Je reçus dans la bouche des ...