1. Les aventures sexuelles débridées de Patrick, Christine la belle-maman. (1)


    Datte: 28/08/2017, Catégories: Hétéro

    ... tous mes bons principes. Je suis fascinée par ce sexe si doux sous ma main, je ne sais plus ce que je fais, sans m’en rendre compte, je me penche en avant et gobe délicatement entre mes lèvres l’extrémité de son gland dans ma bouche avide. Il gémit doucement et je n’ose plus bouger de peur de le réveiller avant de reprendre doucement ma fellation. Je m’enhardie, prenant en bouche ce pénis endormi de plus en plus loin, m’amusant de ma langue à excité le gland dans à peine sorti de sa gangue de peau. Il se met à grogner et sa tête dodeline. J’avale presque entièrement sa bite qui prend une taille fantastique en continuant de grossir et de durcir, j’en ai plein la bouche, j’entends un gémissement plus fort, mon Dieu, qu’il ne se réveille pas maintenant. Je suis comme folle ne sachant plus ce que je fais mais je ne peux plus résister à l’idée folle qui me vient. Je retire ma bouche de ce brûlot, enjambe son corps et me mets à cheval au dessus de sa queue que je saisis d’une main, elle est orgueilleusement dressée, je repousse ma culotte et je frotte sur mes grandes lèvres le gland décalotté en m’excusant d’avance en pensée à Emilie: — J’espère que tu me pardonneras mais l’appel de ce monstre est trop fort... Pardonne-moi aussi, mon futur gendre, tu vas me prendre pour la pire des mères ! Je plie le plus lentement possible mes genoux et sous la pression, le gland mafflu s’insinue dans ma vulve, en écartant la fente, je me retiens de gémir, me mordant les lèvres. C’est là que je me ...
    ... rends compte de la grosseur énorme de ce phallus. — Oh mon Dieu! Emilie, tu ne me pardonneras jamais ce que je suis en train de faire, mais ton amoureux est trop bien monté ! Mon bassin s’active sur cette interminable bite, j’en prends toute l’ampleur, m’empalant entièrement sur son rostre, faisant des allers-retours de plus en plus rapides, serrant mes muscles intimes le plus fort possible sur ce magnifique gourdin. J’en oublie même qu’il dore encore ne prenant plus assez de précautions quand soudain j’entends: — Bonjour belle-maman ! On dirait que vous aimez l’équitation de si bon matin ! Je suis tétanisée bien 30 secondes, son manche au plus profond de moi avant de m’éjecter tel un ressort de ma fâcheuse posture. -Oh ! Je… Je… ta queue… Oh, c’est horrible !!! Que vas-tu penser de moi ? Et Emilie ! Je ne voulais pas ! Je me mets à pleurer et vais pour prendre la fuite, il jaillit du lit et me rattrape par un bras. Son sexe tressaute dans tous les sens. — Tu es une très belle femme, Christine, en manque d’amour et de sexe. Tu dis vouloir partir mais ton cœur s’y oppose. Tu me supplies de croire que tu ne voulais pas mais tes actes me prouvent le contraire. -Si je ne m’étais pas réveillé, tu aurais continué à prendre ton plaisir toute seule mais il ne fallait pas me broyer aussi fort la pine avec ta matrice. Maintenant, je ne vais pas te retenir si tu ne le désires pas. Et ne te fais pas de soucis pour Emilie, si tu veux tout savoir, c’est elle qui a monté ce piège pour toi, ...
«1234...8»