1. Des retrouvailles


    Datte: 20/06/2019, Catégories: fh, rousseur, amour, Oral pénétration,

    ... nous revoir rapidement. Le voyage du retour a été un supplice : nous n’osions pas nous parler, et nous n’avons échangé que le minimum de paroles nécessaires. — On est toujours amis, hein ?— Ben oui ! lui répondis-je, on a seulement baisé ensemble…— C’est sûr : des amis, ça baise pas ensemble. Je l’ai déposée devant chez elle et nous nous sommes quittés avec deux bises sur la joue sans fixer de nouveau rendez-vous. Depuis, rien ! Je pense à elle sans arrêt, mais je n’ose l’appeler. Pourquoi ? Je n’arrive pas à me l’expliquer, elle hante mes nuits et peuple mon sommeil de rêves érotiques. Je regarde souvent mon téléphone ; mais pas de message, pas de sonnerie, rien. Tout à coup, je comprends : j’ai peur qu’elle me repousse, qu’elle me dise « On s’est bien amusé, hein ; on est toujours copains ? » Elle regrette, c’est sûr ; autrement elle m’aurait appelé. Elle voulait être avec moi comme un ami, pas comme un amoureux ! Décembre 2013 Après-demain c’est Noël. En cette fin d’après-midi, emmitouflé dans mon manteau et une écharpe chaude, je me balade sur les grands boulevards. Je dois acheter mes derniers cadeaux quand soudain je l’aperçois, là, devant moi ! Elle porte un bonnet enfoncé sur la tête, une écharpe qui lui couvre le bas du visage, mais je l’ai reconnue : ses yeux bleus, ses taches de rousseurs… Mon cœur se met à battre la chamade, et comme poussé par une force invisible je me précipite vers elle. — Lola !— Maxime ! Nous nous regardons un instant ; son visage exprime un ...
    ... instant le doute, et soudain elle se précipite vers moi. Nos bouches se cherchent et nous échangeons un long baiser mouillé. — Mon amour… me dit-elle.— Ma chérie ! Deux heures plus tard nous sommes dans mon lit, nos vêtements éparpillés sur le plancher. Lola s’est assoupie, couchée sur le ventre, un bras encore sur ma poitrine. Je la contemple en soulevant légèrement le drap : je découvre les courbes sensuelles de ses hanches, ses fesses callipyges, ses longues jambes. — Arrête de me mater, je ne t’ai pas donné la permission !— J’ai pas fini de compter tes taches de rousseur, et tu dois toujours me payer pour mes prestations.— Pour moi, c’est pas gratis ? me dit-elle en se relevant et en me chevauchant. Elle s’empale sur moi ; ses cheveux retombent et me caressent le visage. Ses seins se trémoussent doucement tandis qu’elle se soulève et retombe, encore et encore. De temps en temps elle se penche pour m’embrasser alors que mes mains se perdent sur ses cuisses, ses fesses, ses seins. Je la renverse ; elle se retourne, s’agenouille et me présente sa croupe, sans attendre je la pénètre par derrière. Sa main entre les jambes, elle se masturbe tandis que je la pilonne. Quelques instants plus tard, des ondes de plaisir nous secouent et nous nous écroulons sur mon lit, allongés l’un en face de l’autre. — Maxime, tu fais quoi le jour de Noël ?— Rien. Pour moi, réveillon en famille le 24 au soir. Pourquoi ?— Tu viens avec moi chez mon père ? Réunion de famille.— Et toi, le 24, chez la ...
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