1. Dans les bois.


    Datte: 22/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Transexuels

    Hier soir, Philippe m’a téléphoné pour parler de tout et de rien. Plus la conversation avançait, plus je ressentais chez lui une tension extrême. Plus je lui posais de questions, plus il se montrait évasif. Je ne comprenais pas son attitude. Alors que je m’apprêtais à raccrocher, il finit par me dire : « demain en fin de matinée, je passe te chercher ». Voulant en savoir plus, je repris mon petit jeu de questions/réponses, mais il resta discret, ne voulant rien me révéler. La seule chose qu’il me dit avant que de couper c’est : « je choisirais ta tenue ». Autant vous dire que ma nuit fut quelque peu agitée car je me posais pleins de questions, auxquelles je ne pouvais associer de réponses. Lorsque le réveil sonna le lendemain, j’avais l’impression de ne pas avoir dormi. Pour me mettre en forme, je filai sous la douche. Comme il me l’avait demandé, je restais donc nue, dans l’attente anxieuse de son arrivée. Je reçus un texto me disant : « je pars de chez moi, j’arrive dans une vingtaine de minutes ». Ponctuel, comme à son habitude, il arriva pile à l’heure. Après m’avoir embrassé goulûment, il m’entraîna vers mon dressing. Il farfouilla quelques minutes et en ressortit un mini short en cuir et un mini blouson qui n’allait cacher que ma poitrine. « Enfiles ça, ma salope, cela suffira amplement ». Il fouilla ensuite dans mes chaussures et me tendit une paire de bottines à hauts talons. « Pour ton maquillage, je veux quelque chose de voyant, et pour ta coiffure, ta perruque ...
    ... courte brune fera l’affaire » ajouta-t-il en se dirigeant vers la cuisine pour se préparer un café. Quelques minutes plus tard, je le rejoignis. Il me palpa, me tritura, tout en accompagnant ses gestes de commentaires flatteurs à mon égard du style : « c’est bien ma pute, tu es une bonne fille obéissante » et j’en passe …Depuis le temps que nous nous fréquentions, j’avais vaincu ma peur de sortir dans des tenues aussi excentriques et de croiser des voisins. Nous prîmes l’escalier pour descendre. Mes talons me semblaient faire un raffut de tous les diables mais je m’en fichais, j’étais à son bras. Arrivés dans la rue, pour corser l’affaire, il s’était garé assez loin. Je marchais fièrement la tête droite mais les yeux baissés. Nous arrivâmes enfin à sa voiture, dont il ouvrit la portière. Je dus alors m’installer tel qu’il me l’avait appris. Je commençais par poser mes fesses sur le siège et avant que de rentrer mes jambes dans l’habitacle, je dus écarter les jambes, offrant aux passants une vue sur mon entrejambes. Une fois assise, je remarquais des menottes posées au plancher. Il referma un premier jeu sur mes chevilles. Il se redressa et ouvrit mon blouson, laissant ma poitrine sans la moindre protection, à la vue de tous. Cela fait, il passa à l’arrière, m’intima l’ordre de mettre mes bras dans mon dos, ce que je fis sans discuter. Il y passa une seconde paire de menottes. Je me retrouvais ainsi immobilisée, les seins à l’air. Cette situation, nouvelle, ne tarda pas à faire ...
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