Dans les bois.
Datte: 22/06/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Transexuels
... son effet. Une bosse apparut, déformant le short. Me voir ainsi exhibée, en pleine rue, en pleine ville devait l’exciter lui aussi car il sortit de sa poche un petit appareil photos avec lequel il me mitrailla. Satisfait, il s’installa au volant et démarra. Je pensai que nous allions rapidement sortir de la ville mais il n’en fit rien. Au contraire, il prenait tout son temps. Roulant tranquillement et s’arrêtant à tous les feux. Bien évidemment, les yeux des conducteurs voisins se tournaient vers moi. Je n’osai imaginer leurs pensées. Nous quittâmes enfin la ville et il prit la direction de la campagne avoisinante. Nous roulâmes de longues minutes durant lesquelles il n’hésitait pas à poser sa main sur mes cuisses et à remonter vers mon clitoris, ce qui me menait à un point de paroxysme, que je vous laisse imaginer. Il finit par s’engager dans un petit chemin qui menait vers une forêt. Il se gara de façon à ce que la voiture soit visible de la route. Puis il descendit et vint me libérer, façon de parler car s’il libéra mes bras, ce ne fut que le temps de me retirer mon blouson, après quo, il remit les menottes en place. A un moment, il trouva une branche un peu épaisse qu’il ramassa. Il passa derrière moi, ouvrit les menottes, passa la branche dans mon dos, et me menotta à nouveau, mais les mains devant moi. L’arc, que formaient mes coudes, bloquait la branche dans mon dos, me forçant à me redresser. Nous continuâmes à marcher. Un peu plus loin, il prit une petite branche ...
... qu’il transforma en badine. Chemin faisant, il en profitait pour me fouetter. De façon très irrégulière et toujours au moment où je m’y attendais le moins. Chaque coup imprimait sa marque sur ma peau. Des larmes de douleur perlèrent aux coins de mes yeux. Il s’en rendit compte et me dit d’un ton qui ne supportait pas la moindre réplique : « sois forte et tais toi, je ne veux pas t’entendre ».Arrivés à l’entrée d’une clairière, il me débarrassa de la branche et m’attacha à un arbre, face à lui, les chaînes des menottes passant derrière le tronc, me rendant à sa merci. La badine reprit son œuvre, me zébrant maintenant tout le devant du corps. Comme une damnée, je me débattais dans mes liens mais rien n’y faisait. Estimant que la punition avait suffisamment duré, il jeta la badine, dégrafa mon short qu’il fit descendre jusqu’à mes genoux, et prenant mon clitoris entre ses doigts, il me branla me conduisant très vite à la jouissance. Mon jus se répandit dans sa main qu’il porta à ma bouche. Je compris ce que j’avais à faire. Je léchais consciencieusement ses doigts pour en récupérer mon sperme. Il récupéra les dernières gouttes au bout de mon clitoris et l’étala autour de ma bouche et sur mes seins. Satisfait, il s’éloigna, me laissant seule, attachée à mon arbre. Son absence dura un certain temps. Quand il revint, enfin, il tenait à la main un sac de sport qu’il était allé chercher dans le coffre de la voiture. Avant que de me libérer de mon arbre il passa à mon cou, un collier ...