1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (25)


    Datte: 22/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Mon sexe indigne se mit en érection quand elle posa son visage sur mon épaule. Véro pleura des chaudes larmes, libérant son mal-être, tandis que je lui caressai sa chevelure en déposant des baisers sur son front. Après un long moment, elle reprit son souffle et me demanda de lui verser un autre café. Elle secoua la tête en arrière, s’essuya ses larmes et alluma une cigarette. — Bon… Dit-elle en me faisant un petit sourire. — Ca fait du bien de pleurer un bon coup, je veux te retrouver comme avant ! Allez ma belle Tatie, ma jeune trentenaire, ça va passer ! En passant tendrement ma main sur sa joue. — Oh tu parles d’une trentenaire…je dois faire peur à voir et je suis sûre que tu me trouves pas mal en plus. Je m’en veux pour ces derniers temps, je n’ai pas été très correcte avec toi. En tapotant sur sa cigarette. — On savait que nous aurions des moments difficiles, le principal est de rester unis. Dernière chose Véronique, tu n’as pas gâché ma vie contrairement à ce que tu prétends, tu l’as embellie. Lui dis-je en prenant une gorgée de café. — C’est beau ce que tu viens de me dire, je vais essayer de changer et puis je suis si ennuyée vis à vis de ta mère Patrick et je ne trouve pas la solution…euh je ne vais pas quand même lui dire que je t’ai proposé de coucher avec moi et que tu as accepté ? Dit-elle d’un ton rempli d’inquiétude. — On ne peut pas continuer ainsi, Hugo va grandir et les garçons ne sont plus dupes de notre manège. J’appellerai ma mère et je lui dirai que ...
    ... nous avons parlé, longuement parlé et ensuite que nous avons passé la nuit ensemble pour voir… — Pour voir ? Mais voir quoi ? Tu vas lui dire que c’était super de baiser avec moi ? En recommençant à s’emporter. — On n’y arrivera jamais à ce train-là. Ecoute, tu lui as dit que tu étais open si je te proposais de coucher avec toi. Je te l’ai proposé et tu as accepté. Quand je l’appellerai, je mettrai le haut-parleur, d’ac’ ? — Han ça me donne des frissons rien que de l’imaginer…bon je monte prendre une douche et je m’habille. Dit-elle en se levant pour mettre sa tasse dans l’évier. J’aimais regarder ma tante avec sa nuque élancée et sa façon de se tenir bien droite. Elle n’avait pas fait attention à sa robe, désormais entrouverte la rendant fort attirante. L’envie de la rejoindre me traversa l’esprit, puis l’envie prit une autre direction. C’eut été maladroit de ma part et je me retrouvai en phase de séduction, comme à l’époque de mon stage à Bordeaux chez elle. Restant seul dans la cuisine, je fis une analyse rapide de son attitude. Incapable de prendre une décision nous concernant, elle avait préféré prendre la fuite. De notre première coucherie à ce jour, ce sentiment de culpabilité était resté omniprésent. Baignant dans une morale impure, Véronique se considérait comme une sœur indigne vis à vis de ma mère. Mon idée de balancer une bonne fois pour toute la vérité l’avait irritée ou affolée. Du coup, de peur d’affronter cette terrible réalité, autrement dit la réaction farouche ...
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