1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (25)


    Datte: 22/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... indésirable. — On peut compter sur Patricia, elle nous a invités pour ses 50 ans et je suis certain qu’elle serait ravie, en plus ça lui donnera un coup de jeune ! Elle qui ne veut pas vieillir s’imaginera que c’est le sien. Ironisai-je. — Oh Patrick…tu es à la fois drôle et méchant, je lui demanderai et…je peux t’embrasser pour te souhaiter bonne nuit. Me demanda-t-elle presque craintive. — C’est toujours avec plaisir, mais je trouve le temps long, long de rester comme un con à dormir à tes cotés ! — Tu es dur avec moi…Soupira-t-elle en se penchant sur moi. Ma tante me roula une belle pelle, sa langue plongeant dans mon palais pour enrouler la mienne. Mais très vite, elle stoppa son ardeur de peur de me voir déraper. J’engendrai une fois de plus une nouvelle frustration, pensant que les femmes étaient d’un compliqué, sans pour autant devenir myosine. Perdu dans cette lassitude, j’en avais oublié ma pseudo-séduction, qui de toute façon se serait avérée vaine. La solution émanait de ma mère, de son comportement futur avec sa sœur. Le lendemain, jouant le tout pour le tout, j’envisageai de faire une visite éclair à mes parents et en fit part à ma partenaire, douce en ...
    ... apparence, mais capricieuse avec moi-même. Véro trouva cette idée purement ridicule et pour la première fois depuis notre relation, une dispute éclata le matin-même. Elle haussa la voix, irritée de mon comportement envers elle. Elle me reprocha mon manque de patience et surtout mon côté quasi-obsessionnel de vouloir à tout prix obtenir une relation avec elle. Sans détour, j’argumentai qu’elle était mal placée pour me donner la leçon, j’enchainai sur son manque de courage vis à vis de ma mère. Je terminai par lui dire la lâcheté de son comportement, en se défaussant sur moi, ainsi que ses principes ridicules et que nous vivions au 21ème siècle. Enfin, je portai le coup de grâce en estimant qu’elle vivait sous la coupe de sa grande sœur, la-même qui lui dictait sa vie tout bonnement. Je partis au bureau en claquant la porte. Durant le trajet, j’estimai que notre relation, déjà au point mort entamait sa dernière phase. Je pestai contre elle, l’estimant dure avec moi-même et si molle avec ma mère.En réalité, je ne supportais plus cette espèce de coquille dans laquelle elle restait cloitrée, confinée. Une semaine, puis deux et enfin quatre au total avaient eu raison de ma patience…. 
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