1. Jane


    Datte: 23/06/2019, Catégories: fh, hh, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Masturbation Oral hsodo,

    ... suite. Au bout d’un moment beaucoup trop court, elle se dégagea, me prit par la main et m’emmena vers le sofa. — J. « Il faut que je te parle. Je ne suis pas comme les autres. Oui je vois ton sourire, toutes les femmes disent cela, mais moi je suis vraiment différente. En fait physiquement, génétiquement, sexuellement je suis un homme, mais pour tout le reste je suis une femme. Je ne suis pas une anomalie de la nature, je suis née femme dans un corps d’homme. J’ai transformé beaucoup de choses sauf mon sexe. » Je voulus dire quelque chose mais elle me mit un doigt sur les lèvres — J. « Non, ne dis rien, je veux que tu réfléchisses à tout ceci. J’ai connu trop d’hommes qui voulaient juste essayer pour voir. Tu me plais, je crois te plaire aussi, je préférerais qu’il ne se passe rien plutôt que quelque chose de moche. » Elle m’embrassa une dernière fois sur les lèvres et s’enfuit dans les escaliers. Le soleil brillait depuis longtemps lorsque je me levai. Jane n’était pas dans la maison. Je décidais d’aller me baigner avant le petit-déjeuner, le signal était sur le banc, je décidais simplement d’enlever mon short, je le posais à côté de l’écharpe et traversai le buisson. Elle m’entendit arriver, se leva de son transat et vint vers moi, un merveilleux sourire aux lèvres. Elle était ce matin-là comme j’aime la voir tous les matins depuis, ses tétons pointaient vers moi, sa queue était raide, impérieuse, gorgée de désir, son gland était rubicond, palpitant, attendant ma caresse. ...
    ... — J. « Je pensais à toi. » Je m’approchais et caressais son gland du bout du doigt. — M. « Oui, je vois »— J. « Tu es un coquin », me dit-elle en riant. Elle me prit la queue à pleine main. « Et toi, à qui pensais-tu ? »— M. « Mais à toi bien sûr. » Je bandais comme un fou. Nous nous sommes embrassés avec fougue, nos langues se cherchant, cela n’avait plus rien à voir avec le baiser de la veille, je la caressais partout, massant ses fesses, nos verges s’affrontaient en une espèce d’escrime sexuelle. Puis, je me baissai lentement vers ses seins, léchant, suçant chaque téton, passant de l’un à l’autre. En une fois je me laissai tomber sur les genoux, j’avais sa queue devant les yeux, une goutte de désir perlait au bout de son gland. Elle me passait les doigts dans les cheveux, sans essayer de me forcer. Je tendis la langue et gouttai son gland, m’enhardissant je le gobai, le relâchai, léchai sa verge ; je descendais et gobais ses couilles une par une, puis remontais, reprenais son gland et enfin j’ai pris sa queue entièrement en bouche. D’une main je caressais, palpais, massais ses fesses, de l’autre je caressais ses couilles ou sa verge quand je m’acharnais sur le gland. Elle tremblait, gémissait, disait des mots incohérents, cela m’excitai encore plus, je la suçais avidement, de plus en plus vite, respirant de plus en plus fort, caressant son gland avec le plat de la langue, branlant sa tige, encore et encore, elle gémissait de plus en plus, m’imprimant maintenant la vitesse, ...
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