Le manoir (3)
Datte: 23/06/2019,
Catégories:
Divers,
Chapitre 3 Des hommes venus de nulle part font irruptions dans la pièce. Étaient-ils là depuis le début ? Trop cachés dans le noir, je ne les avais pas vus, ni même entendus la moindre respiration de leur part. Ils se précipitent sur moi et sur mon Emilie. Des masques cachent le haut de leur visage, une cape noire recouvre leur corps nu. Déjà plusieurs sont sur moi. Ils me touchent, me caressent, me lèchent, et me mordent tels des bêtes sauvages se jetant sur leur proie. Je me délecte, je découvre de nouvelles formes de jouissance. Je suis à eux, prêt à subir tous leurs supplices. J’entends Emilie crier tout son plaisir, le son de sa voix rapidement étouffé, imaginant sa bouche prise telle qu’est actuellement la mienne. Combien sont-ils à nous baiser ? Cela semble durer des heures. Mon envie ne se calme pas, ma verge ne semble plus savoir débander. Aucun d’eux ne la touche, comme s’il s’agissait d’un graal sacré. Et pourtant, je n’attends que ça, qu’on calme enfin mes envies de continuer à en recevoir davantage. On se décharge dans mon anus, mon trou ne reste pas longtemps sans être de nouveau occupé, déjà un autre y prend place. On se décharge dans ma bouche, j’avale avec plaisir le foutre doux et épais, et déjà j’ouvre mes lèvres pour accueillir la verge suivante. Ils repartent comme ils sont arrivés. Un mirage ? Une tempête ? Je comprends à peine ce qu’il vient de se passer. Pauline est là, vient vers moi et me détache enfin. Emilie est allongée sur une table comme ...
... inconsciente, seule sa respiration lourde montre qu’elle est vivante. J’observe un court instant son corps souillé qui m’est offert. Mon envie est plus forte que jamais. Je me sens animal, je me sens bête. Sans tenter de me contrôler, je vais sur elle, la tourne en la prenant par les jambes, la change de position, sa tête bascule, tombe dans le vide. Je la pénètre d’un coup dans son antre brûlant, je presse sa poitrine poisseuse de sperme que j’ai envie de lécher. Elle se redresse un peu, me regarde de ses yeux qui partent dans le vague, me sourit et me dit d’une voix affaiblie : "je suis contente que ce soit toi le dernier". Je veux en finir rapidement, je la besogne, mais la jouissance tarde à venir. Le mari de Pauline arrive, pose sa verge sur les lèvres d’Emilie qui a la tête en arrière, elle ouvre la bouche, il s’engouffre dedans. Est-ce à cause du mord qu’il a toujours entre les dents ? Il semble n’y prendre aucun plaisir. Et pourtant, la gorge de ma bien aimée est déformée par chaque coup qu’il lui donne. Un bruit de talons sur le sol en pierre me fait tourner la tête pour voir Pauline. Elle a retiré sa robe, se présente quasiment nue, me montre enfin son magnifique corps, s’accroche un phallus en bois au niveau de son pubis. Ma jouissance ne vient toujours pas, Emilie suffoque avec ce vit dans sa gorge, Pauline passe derrière moi, je me penche sur mon amour. Pauline agrippe mes hanches et d’un coup franc me pénètre. Je hurle comme une bête de douleur et de plaisir mélangés. ...