1. Le manoir (3)


    Datte: 23/06/2019, Catégories: Divers,

    ... dans la bouche, il est délicieux. J’observe cette bouteille de vin rouge, elle est ouverte, a eu le temps de respirer. Sur l’étiquette est indiqué « Château Margaux 1982 », je n’imaginais pas être aussi bien reçu. Le vin est excellent, la nourriture tout autant. Je me dis qu’il faudra que je demande à Pauline les adresses de ses producteurs. Tout est si savoureux, tout est tellement délicieux, et mon Emilie l’est encore plus. J’ai envie d’elle, elle a quelque chose de plus sensuel que d’habitude. Elle prend une dernière fraise, s’allonge sur le sol. Jambes impudiquement écartées, se caresse la vulve avec le fruit avant de me le tendre. Je croque dedans, savoure le jus qui coule sur ma langue et elle me dit d’une voix certaine : « baise-moi ». Je m’allonge sur elle, la pénètre sans ménagement. Elle pousse un cri de douleur, je m’inquiète — T’ai-je fait mal ? — Continue. Ca brûle mais c’est à la fois merveilleux. Je m’enfonce profondément, elle m’attrape les fesses, caresse mon anus de ses doigts. Je comprends ce qu’elle ressent, son attouchement est douloureux pour moi aussi. Mélangé avec le plaisir que je reçois, mes sens sont décuplés et mon envie de continuer affirmée. J’accélère mes mouvements, ses cris sont plus forts. Ses doigts me pénètrent, mes râles prennent en puissance. Son vagin se contracte, un orgasme prend possession de son corps. Je suis sur ses traces, et relâche sans attendre de merveilleux jets de sperme dans une jouissance exquise. Je m’écroule sur elle, ...
    ... nous nous cajolons. Je glisse le long de son corps, embrasse sa poitrine, lèche son ventre. Je ne m’attarde pas sur son clitoris, j’ai une envie irrésistible de lui offrir un fantasme qu’elle me réclame depuis bien trop longtemps. Ma langue lèche l’entrée de son vagin, le pénètre, goûte à mon sperme. Mes pupilles s’éveillent, la texture est délicieuse. Ses mains se posent sur ma tête, j’aspire ce jus, l’avale, m’en délecte jusqu’à ce qu’elle tire mes cheveux pour que je vienne l’embrasser, voulant également y goûter. J’ai dû m’assoupir, je suis réveillé par l’eau de la baignoire, Emilie est prête à y entrer. Elle s’excuse de m’avoir réveillé, je ne lui en veux pas et viens pour l’enlacer. Nous nous embrassons fougueusement, mes envies reviennent. Ma verge grossit, se tend, caresse sa peau en montant. Elle me glisse à l’oreille, tel un secret : « laisse-moi juste la sucer ». Elle s’agenouille face à moi, masturbe mon vit pour qu’il prenne encore un peu d’envergure, puis le glisse entre ses lèvres. Le plaisir est toujours aussi intense, je me délecte de sa bouche de plus en plus experte. Mes yeux se perdent dans cette chambre, dans cette pièce dont la décoration m’était sortie de la tête. Il y a ce tableau qui m’avait mis mal à l’aise la veille, mais dont l’union me semble étrangement familière : ce couple avec la bouche de la femme prise par la verge d’un être au corps humain et à tête de cheval, l’homme sodomisé par le diable. Tiens, n’y avait-il pas des statues juste là où ...