1. Les deux soeurs


    Datte: 23/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... son corps en valeur pour ces soirées : - Tu as de beaux nichons, montre-le au lieu de les cacher. Du coup, Agnès ne sortait plus sans un profond décolleté et nombre d'hommes plongeaient les yeux dans son sillon mammaire généreusement exposé. Mais aucun n'attirait vraiment son attention. Elle les trouvait souvent lourds et ne se voyait pas passer la nuit en la compagnie de l'un ou de l'autre. Jusqu'au soir, précédant la scène de la plage citée plus haut, où les deux amants de Sandrine et Marjorie arrivèrent avec leur matelot, un jeune métis dont le visage fin et le corps souple émurent Agnès. Malgré le bruit, elle parvint à nouer conversation avec lui et le fit parler de son travail. Elle promit de lui rendre visite sur le bateau. Et en revenant de la plage où son corps était entrée une nouvelle fois en ébullition, elle décida de se rendre au port pour rencontrer le métis, prénommé Corentin. Elle arriva en mini robe à dos nu, les seins en liberté sous la toile légère. Corentin nettoyait le pont et sourit en voyant arriver la plantureuse quadragénaire. Il avait fait une touche, c'était clair. Les rondeurs en mouvement sous la robe le firent rapidement triquer. C'est qu'il n'avait pas tous les jours une fille à croquer. Certes, la femme qui lui faisait face avait presque vingt ans de plus que lui mais elle n'en était pas moins désirable et, supposait-il, expérimentée. Elle l'affola encore un peu plus par ses évolutions sur le bateau, tantôt penchée en avant en faisant balloter ...
    ... ses seins et remonter sa robe au ras des fesses, tantôt s'accroupissant en écartant les jambes sur un slip noir (en fait, un string qu'elle avait acheté la veille en triple exemplaire, sur le conseil de Sandrine), tantôt le frôlant de son buste épanoui. De son côté, Agnès avait focalisé sur un short jean particulièrement bien rempli, devant comme derrière. Elle bouillait et s'efforçait de ne pas le montrer. L'heure du dîner approchant, ils décidèrent d'aller manger une pizza ensemble. Le repas fut un mélange de décontraction et de tension. L'un et l'autre ne pensaient qu'à une chose : baiser ensemble. Mais ils donnaient le change, à la fois pour ne pas aller trop vite en besogne et pour prolonger le désir. Quand, à la sortie du restaurant, Agnès prononça d'une voix sourde "On va chez moi ?", le jeune homme répondit par un sourire entendu. ******* L'appartement était vide en l'absence de Sandrine et Agnès entraina le jeune homme dans sa chambre, prenant soin de fermer la porte qui, cependant, n'avait pas de clef. Tous deux basculèrent illico sur le lit. Corentin eut tôt fait de visiter l'intérieur de la robe et Agnès de tirer sur la fermeture éclair du jean d'où jaillit une tige incroyablement longue et fine, à l'image des autres membres du jeune matelot. Celui-ci se débarrassa prestement de son vêtement (il ne portait rien dessous) et de son tee shirt, apparaissant entièrement nu. Agnès fut aussitôt éblouie par la beauté de ce corps. Jamais elle n'avait fait l'amour avec un ...
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