Les deux soeurs
Datte: 23/06/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... mec aussi bien gaulé. Cette chance inouïe, elle avait bien l'intention de la savourer au maximum. De son côté, le matelot était impatient d'enfiler cette chair dense et juteuse. Les préliminaires furent vite expédiés et dès que la capote fut posée, Corentin rua littéralement entre les cuisses grandes ouvertes d'Agnès, qui à vrai dire était aussi impatiente que lui. Un coït sauvage s'engagea entre deux corps aussi affamés l'un que l'autre. Pénétrée en profondeur, Agnès hululait de plaisir, les talons plantés dans les reins de son jeune amant lequel se régalait de la houle des seins lourds de sa partenaire à chacun de ses vigoureux coups de boutoir. Jamais il n'avais baisée une nana avec des nibards pareils. Agnès craignit alors qu'il n'éjacule prématurément et tenta de le calmer : - Doucement, doucement, ne pars pas trop vite. - T'inquiète, je maîtrise. Retourne-toi. Il la prit en levrette, se régala de ses deux globes charnus qu'il empoigna, tout en besognant découvrit son anus en écartant les fesses et décida de la sodomiser. Trop de filles refusaient et cette occasion lui semblait bonne. Lorsqu'il posa son gland sur l'orifice, Agnès se retourna vers lui : - Tu veux me prendre par là ? Corentin acquiesça et vit avec satisfaction la quadragénaire creuser les reins pour faciliter son introduction. Il s'engagea avec précaution, provoqua un petit gémissement mais dès qu'il fut totalement engagé, sa partenaire participa activement. Elle venait même à sa rencontre en manifestant ...
... de la voix son plaisir avec des mots d'une surprenante crudité où il était question de bite et de couilles. Il était tombé sur le coup du siècle et glissa une main par en dessous pour en récompense lui pétrir un sein et accompagner ses ballottements. Ni l'un ni l'autre, trop occupés qu'ils étaient, n'entendirent la porte s'ouvrir légèrement. Sandrine, alertée par les bruits de l'amour, avait glissé un oeil sur le lit et découvert la position explicite du couple. "Agnès se fait enculer par ce canon", constata-t-elle, époustouflée. Et d'assister le plus discrètement possible à la suite des ébats, en voyeuse. La suite lui montra que sa demi-soeur n'était pas aussi sexuellement attardée qu'elle le croyait. Après que le jeune homme se fut retiré de son tréfonds et eut changé de préservatif, Agnès se mit à le chevaucher avec frénésie, donnant à son bassin une amplitude de mouvement laissant supposer une profonde pénétration. Elle se pâmait en caressant le torse superbe de son amant tandis que celui-ci lui pétrissait les seins, les soupesant, les empaumant, les titillant. Puis elle se mit sur ses pieds et se laissa tomber à plusieurs reprises sur la bite avec un bruit sec, les yeux dans ceux du jeune homme, les nichons tressautant à chaque impact. Cette position fatigante mais ô combien jouissive édifia définitivement Sandrine derrière sa porte entrouverte : sa demi-soeur était bel et bien une baiseuse. Elle avait bien caché son jeu, la coquine. Puis le jeune homme la renversa et la ...