La commission des finances
Datte: 24/06/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
grosseins,
... rabat le pan de sa jupe pour dévoiler ses jambes nues. Elle se déchausse et déboutonne lentement un puis deux puis trois boutons de son chemisier… Je reviens vers elle… — Attends un peu… regarde d’abord. Tu devrais t’installer dans mon fauteuil. J’obtempère. Elle se lève, remonte doucement sa jupe fendue et d’un geste souple saisit sa petite culotte noire qu’elle fait descendre prestement. Elle se penche alors pour la retirer et dans ce mouvement son opulente poitrine apparaît dans le décolleté ouvert. Elle me lance sa culotte. — Vas-y, goûte-moi un peu ça. Cette réunion, tu ne peux pas imaginer ce que ça m’a fait mouiller, tous ces mecs qui me mataient. Et toi ! J’aurais voulu que tu me baises sur-le-champ sur la table du conseil !— J’ai pas débandé depuis le début de cette foutue réunion. Tu m’avais déjà convaincu, avec tes regards électriques. Je me suis régalé à mater ton gros cul serré dans ta jupe et à deviner tes gros nibards, à vouloir te les bouffer et te faire sucer ma queue sous la table. Elle s’avance avec un regard de braise, remonte sa jupe au-dessus de ses cuisses et vient s’asseoir sur le bureau à côté de moi. Puis elle écarte les cuisses et me laisse voir sa chatte épilée et humide. — Le dîner est servi, mon chéri ! lance-t-elle, amusée. À toi l’honneur… Ne me faisant pas prier, je plonge entre ces deux belles cuisses brunes. Je lèche et j’aspire le jus abondant de Claudia qui avait posé un pied sur chaque accoudoir de mon fauteuil. Sa chatte est profonde ...
... et je dois l’ouvrir avant d’y glisser ma langue plus avant. Je l’explore sous ses gémissement approbateurs, je suce ses petites lèvres, je taquine son clito tuméfié, lui arrachant des râles. — Vas y, bouffe-moi, hum… comme j’ai attendu ce moment. N’oublie pas mon cul, tant que tu y es. En même temps elle bascule le bassin pour me présenter sa rondelle. Il ne m’en fallait pas plus pour repartir en exploration. Je toilette d’abord l’orifice bien clos et résistant aux assauts de ma langue. Puis, retournant me barbouiller le museau de sa mouille, je glisse l’index dans son vagin afin de le lubrifier. Mon doigt gluant du jus de Claudia entre facilement dans l’anus de la belle métisse. N’y tenant plus, elle avait déjà extrait ses énormes mamelles de son soutif noir et se pinçait les tétons en râlant. Mon doigt entier était dans son cul quand elle en réclame un deuxième. Mieux que ça, je glisse mon médius à la rescousse et mon autre main vient doigter son vagin à trois doigts. Elle est large et souple et j’entre en elle tout ce que je veux. — Tu es bien ouverte, à présent, ma belle… tu en veux encore… Elle haletait sous le travail combiné de mes deux mains dans ses trous, surtout que mon pouce continuait à martyriser son gros clito. — Oui, vas-y, défonce-moi, prends-moi, c’est bon. Plus fort. Vas-y plus fort, Nicolas ! Elle explose en quelques secondes, tremblant de tous ses membres, puis retombe épuisée sur le bureau dévasté. Je retire mes mains et me lève, contemplant le corps ...