1. L'été Provençal


    Datte: 24/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    Je crois que je ne vous ai jamais dit comment Éric fut conçu Nous étions à l'époque Georges et moi, (Georges c'est mon mari) mariés depuis quelques moi. Georges me faisait part de ces envies de paternité. Moi j'avais 23 ans encore peu soucieuses de ce genre de responsabilité mais au fond je voulais faire plaisir à mon mari qui était si prévenant pour moi. C'était donc l'été, mes parents avaient loué pour nous tous une maison dans l'arrière-pays provençal, nous étions ensemble et tout allait pour le mieux entre mes parent et Georges qui les appréciait beaucoup. Nous faisons la sieste tous les jours car le temps était vraiment très chaud et je me souviens que nous reposions nus sur notre lit Georges et moi. Bien sûr il a voulu me faire l'amour et je l'ai accueilli bien volontiers j'avais arrêté la pilule depuis deux mois ce qui rendait Georges plus enthousiaste encore. Il m'a donc prise la dans la pénombre tiède de la chambre alors que dehors le soleil écrasait la campagne. J'ai senti son sexe ouvrir mes lèvres intimes, il est entré en moi. J'ai frissonné et j'ai senti Georges se mettre à s'agiter sur mon ventre. Il haletait au-dessus de moi, pesant de tout son poids sur mon corps, j'ai frémi en le sentant en moi. Georges n'a pas un sexe surdimensionné et je dois dire que mon plaisir était mesuré. J'ai dû simuler un peu histoire de l'encourager je me suis mis à soupirer j'ai même gémi en le sentant s'agiter plus vite me donner de furieux coups de reins et puis rapidement ...
    ... libérer le sperme que je sentais se répandre en moi. Il a eu un gros soupir, et puis Georges a basculé sur le côté histoire de retrouver un peu de fraîcheur. Il m'a embrassée en me chuchotant que cette fois sera la bonne, j'ai souri timidement. Georges n'était pas un vrai adepte de la sieste, il s'ennuyait vite au lit et dans une semi somnolence je l'ai entendu se lever sans bruit, il enfilait son maillot de bain et il a quitté la chambre. Plus tard j'ai entendu le plouf qu'il a fait dans l'eau quand il a plongé et puis il s'est mis à faire des longueurs de bassin j'ai replongé dans un demi-sommeil bienfaiteur. Le grincement léger de la porte m'a fait rouvrir les yeux. J'ai aperçu la tête de mon père passer par l'ouverture, il me souriait, en entrant dans la chambre et en refermant la porte avec précaution. J'en ai été si surprise que je n'ai pas réagie, il s'est approché du lit et sans un mot il s'est allongé près de moi tout en souriant. «Tu es de plus en plus belle» a-t-il murmuré en m'attirant à lui. J'ai soudain eu froid, un grand frisson m'a parcouru sur toute la surface de ma peau, et pour le coup j'étais bien réveillée. Papa m'a prise dans ses bras puissants et tout à coup j'ai retrouvé cette intimité qui avait été la nôtre pendant mes années d'adolescence. Papa dans mon lit, cela faisait un moment que ce n'était pas arrivé. Ses lèvres ont embrasser ma joue, elles ont cherché ma bouche et je me suis laissé faire, tout m'est revenu en mémoire en un instant, cette sensation ...
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