1. L'été Provençal


    Datte: 24/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... étouffer mes cris. Dans un dernier coup de rein, papa s'est fiché en moi comme un pieu en terre. Je sentais ses jets de sperme envahir mon ventre. Je ne peux pas dire combien de temps nous sommes restés ainsi enlacés l'un à l'autre. Nous étions si bien dans cette chambre ombreuse dans l'après-midi ensoleillée de Provence. Dehors les cigales emplissaient l'air de leurs stridences crispées. J'ai entendu Georges et maman qui parlaient ensemble. Je me suis fait la réflexion, ils s'entendent bien Georges et maman. j'en ai été heureuse me laissant aller à mon bonheur du moment. Papa me tenait chaud mais peu m'importait, j'aimais sentir son poids rassurant sur mon corps trempé de sueur. Nous sommes restés ainsi un long moment sans bouger. Et puis papa a relevé la tête il m'a souri il a glissé sur le côté j'ai ressenti un grand froid mais papa était près de moi je ne devais pas avoir peur du monde, j'étais protégée. Son sexe est redevenu dur, je l'ai senti contre mes fesses, les bras de papa m'ont entouré il m'a ramené contre lui, sa main a écarté mes globes fessiers et j'ai senti son gland s'appuyer sur mon anus. Papa a donné un coup de rein et son sexe à ...
    ... retrouver sa voie dans mon ventre comme lorsque plus jeune et encore vierge, il me sodomisait pour préserver mon hymen. Mon cul s'est rouvert pour lui, mon sphincter laissant le passage à sa verge. Il se planta profondément en moi avant de s'immobiliser encore pour jouir de l'instant. Ses deux mains puissantes m'avaient prise par les seins me collant à lui. Et dans l'après-midi torride, papa a repris ses mouvements de va et vient entre mes fesses. Son souffle chaud balayait ma nuque pendant qu'il faisait de moi sa chose. Pour la seconde fois de l'après-midi il se laissa aller et je sentis le sperme envahir mon ventre. Plus tard encore nous avons rejoint Georges et maman au bord de la piscine ils étaient radieux, j'étais un peu honteuse mais papa était là pour me soutenir. Nous avons recommencé papa et moi, sous le ciel pur provençal, lorsque Georges et maman nous laissaient un moment de solitude (Que nous recherchions) nous nous précipitions l'un vers l'autre pour des étreintes éperdues. Papa bandait, il me prenait, il jouissait en moi et je le recevais avec délice. A la fin de l'été mes règles ne sont pas revenues, j'en ai été heureuse pour Georges. 
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