N'épousez pas une pute (1)
Datte: 24/06/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Tous les garçons avaient tiré leur coup sauf Benjamin qui en était à son deuxième tour. Il choisit de se terminer à la main sur les nibards pour un maigre résultat. Nous étions couvert de jute, surtout ma femelle, qui en avait dans tous les trous, sur les seins, le visage et dans les cheveux. vrsvbbnw Les mecs sortirent, nous nous allongeâmes sur le matelas trempé et nous nous endormîmes dans cette pièce qui sentait la sueur, la chatte et le foutre. Le lendemain, c’est le bruit, vers midi qui m’a réveillé. Les gémissements de ma femme et les râles d’un mec. J’ai ouvert les yeux juste à temps pour voir deux types à poil qui sortaient de la piaule, Kévin, reconnaissable à sa forte carrure et Marc à son crâne rasé en brosse. Je me suis retourné. William était en train de prendre ma femme en missionnaire à grands coups de reins. Elle profitait visiblement de la pine, les bras allongés derrière sa tête, le gros seins dansant au rythme des coups de bite. J’avais déjà cette belle gaule raide qu’on a le matin, si dure, si ferme, alors j’ai eu une envie incoercible de la monter à mon tour. Je dis à William : "Enlève ta bite de ma femme". Il me répondit qu’il était sur le point d’aboutir et me demanda d’aller me faire foutre. Alors je posai ma main droite sur le gros nichon, la paume bien sur le téton dur. Mes doigts trempaient dans un liquide chaud et gluant. Je me soulevai un peu. Elle avait le torse couvert de sperme. Étaient-ils déjà tous passés la ...
... bourrer. Je ramassai de lourds grumeaux avec mes doigts pour les lui faire bouffer : "ton petit déjeuner, salope!". William avait dit vrai. Il était sur le point d’éjaculer. Il sortit précipitamment sa bite pour vider ses couilles sur les mamelles et sur ma main qui les pelotait. Ensuite je la tirais comme un chienne mais assez rapidement. Quand tout fut terminé, nous sommes lavâmes et rejoignîmes la noce. J’étais assez sceptique. Certes je savais que ma femme aimait la bite et j’avais moi- même peu fait le difficile quand il avait fallu la sauter au moment où Olivier me l’avait proposé. Mais là, je découvrais qu’elle était beaucoup plus salope que je ne l’avais jamais pensé. Je me demandais si tout le monde était au courant. Au fond, personne ne disait rien sur elle avant qu’on se mette ensemble. Je pense qu’elle tenait chaque mec comme elle m’avait tenu la première fois, par les couilles. Elle imposait le silence si on voulait recommencer. Et qui n’aurait voulu y retourner? C’était la nana de tous nos fantasmes. Elle semblait venir d’un film porno, être sortie de l’écran et s’être emparée de nos teubs envoûtées. C’était une bête de sexe, une sacrée pompeuse, une sacrée grimpeuse, apte par tous les trous, vachement endurante, experte en maniement de queue. Aucune nana ne nous avait jamais baisée comme cela et aucune ne nous rebaiserait jamais non plus de la sorte. Cependant, je n’avais pas tout vu encore. Le voyage de noces allait m’en appendre bien plus.